L'investissement d'environ 170 millions d'euros (3 milliards de rands) sur plusieurs années est porté par le milliardaire Patrick Soon-Shiong qui a fait fortune dans les biotechnologies. Cet entrepreneur est né dans la ville sud-africaine de Port-Elizabeth et c'est dans son pays natal qu'il voulait investir pour mettre fin à l'inégalité vaccinale qui a été révélée par la pandémie. Il qualifie d'ailleurs cette situation d'« apartheid sanitaire », tout comme le président Cyril Ramaphosa.
« Nous avons développé un nouveau vaccin, un vaccin de deuxième génération et nous voulons le fabriquer en Afrique, pour l'Afrique, et l'exporter dans le monde entier. Notre objectif est de bâtir une industrie durable, pas un simple produit, mais bien une industrie des biotechnologies du 21ème siècle », a-t-il déclaré.
À ses côtés, le président Cyril Ramaphosa savoure ce moment comme un victoire. Le président sud-africain a qualifié ce lancement d'« étape importante dans la marche en avant de l'Afrique vers la santé, le progrès et la prospérité ». Depuis le début de la pandémie, il s'est fait le porte-voix du continent dans la dénonciation de l'inégalité vaccinale. « Aujourd'hui nous faisons la démonstration de notre progression vers un continent autonome et nous devrions être fiers de ce que nous avons achevé. Les chaines du colonialismes se brisent petit à petit. »
« Nous avons développé un nouveau vaccin, un vaccin de deuxième génération et nous voulons le fabriquer en Afrique, pour l'Afrique, et l'exporter dans le monde entier. Notre objectif est de bâtir une industrie durable, pas un simple produit, mais bien une industrie des biotechnologies du 21ème siècle », a-t-il déclaré.
À ses côtés, le président Cyril Ramaphosa savoure ce moment comme un victoire. Le président sud-africain a qualifié ce lancement d'« étape importante dans la marche en avant de l'Afrique vers la santé, le progrès et la prospérité ». Depuis le début de la pandémie, il s'est fait le porte-voix du continent dans la dénonciation de l'inégalité vaccinale. « Aujourd'hui nous faisons la démonstration de notre progression vers un continent autonome et nous devrions être fiers de ce que nous avons achevé. Les chaines du colonialismes se brisent petit à petit. »
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