Invitée par le collectif de 162 parlementaires français « Accélérons », Greta Thunberg devrait débattre une partie de l'après-midi, ce mardi 22 juillet, de l'urgence du changement climatique. À ses côtés, pas moins de 150 parlementaires de tous horizons, la vice-présidente du Giec, Valérie Masson-Delmotte ou encore 40 jeunes françaises et français.
La jeune militante ne prendra pas la parole dans l'hémicycle, mais dans une salle située dans les sous-sols de l'Assemblée. Elle échangera ensuite avec plusieurs jeunes avant d'assister, un peu plus tard dans la journée, en tribune, aux questions au gouvernement, sans y prendre part.
Mais cette visite à l'Assemblée nationale ne semble pas faire l'unanimité au sein des parlementaires. Certains ont même appelé à boycotter l'événement, en raison des discours trop angoissants et alarmistes de Greta Thunberg. « Pour lutter contre le réchauffement, nous n'avons pas besoin de gourous apocalyptiques, mais de progrès scientifiques », a ainsi tweeté le député Les Républicains Guillaume Larrivé.
« On exploite cette enfant en se donnant bonne conscience sur ces questions. Ce n’est pas une petite qui a arrêté l’école qui peut venir donner des leçons aux adultes. Je pense que cela décrédibilise le message. Je préférerais qu'on discute avec des scientifiques, avec des personnes qui ont des solutions », regrette Valérie Boyer, députée des Bouches-du-Rhône, secrétaire générale adjointe de Les Républicains.
Sur son compte Twitter la députée Valérie Boyer s'insurge sur le fait que la « jeune activiste déscolarisée » soit invitée à l'Assemblée nationale pour un colloque sur l'écologie le jour même où le gouvernement présente au vote le projet de loi de ratification du traité Ceta de libre-échange entre l'UE et le Canada.
La jeune militante ne prendra pas la parole dans l'hémicycle, mais dans une salle située dans les sous-sols de l'Assemblée. Elle échangera ensuite avec plusieurs jeunes avant d'assister, un peu plus tard dans la journée, en tribune, aux questions au gouvernement, sans y prendre part.
Mais cette visite à l'Assemblée nationale ne semble pas faire l'unanimité au sein des parlementaires. Certains ont même appelé à boycotter l'événement, en raison des discours trop angoissants et alarmistes de Greta Thunberg. « Pour lutter contre le réchauffement, nous n'avons pas besoin de gourous apocalyptiques, mais de progrès scientifiques », a ainsi tweeté le député Les Républicains Guillaume Larrivé.
« On exploite cette enfant en se donnant bonne conscience sur ces questions. Ce n’est pas une petite qui a arrêté l’école qui peut venir donner des leçons aux adultes. Je pense que cela décrédibilise le message. Je préférerais qu'on discute avec des scientifiques, avec des personnes qui ont des solutions », regrette Valérie Boyer, députée des Bouches-du-Rhône, secrétaire générale adjointe de Les Républicains.
Sur son compte Twitter la députée Valérie Boyer s'insurge sur le fait que la « jeune activiste déscolarisée » soit invitée à l'Assemblée nationale pour un colloque sur l'écologie le jour même où le gouvernement présente au vote le projet de loi de ratification du traité Ceta de libre-échange entre l'UE et le Canada.
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