Une équipe du FMI s'est réunie à Accra du 24 septembre au 4 octobre pour discuter des progrès des réformes et des priorités politiques des autorités au Ghana. Les investisseurs internationaux ont approuvé un plan pour restructurer une partie de la dette de ce pays. Elle devrait baisser de 4 milliards de dollars. Une nouvelle étape dans le processus de restructuration ghanéen.
C'est un accord très important qui vient d'être signé entre le Ghana, ses créanciers, et le Fonds monétaire international (FMI). Après de longues négociations, les investisseurs internationaux ont approuvé un plan pour restructurer une partie de la dette du pays.
Il y a deux ans, la situation économique du pays était critique : inflation historique, chute de la monnaie. Résultat : le Ghana avait dû suspendre le paiement de sa dette extérieure, évaluée à 30 milliards de dollars. Un défaut de paiement.
Il lui aura fallu deux ans pour négocier avec les créanciers internationaux. Grâce à un montage financier – techniquement, un échange d'obligations contre de la nouvelle dette –, celle-ci va baisser de 4 milliards de dollars sur les deux prochaines années. De quoi sortir le pays du défaut de paiement avant les élections de décembre prochain.
« Notre économie a pris un nouveau tournant », s'est même félicité le président ghanéen dans un communiqué. Certes, l'endettement du pays va diminuer. Mais l'inflation sur un an, elle, reste élevée : 21% le mois dernier.
Le Ghana s'ajoute à la liste des pays qui ont réussi à restructurer leur dette. Le prochain, ce sera l'Éthiopie : la semaine dernière, une délégation du FMI était d'ailleurs sur place.
Le FMI qui annonce par ailleurs ce vendredi matin débloquer un crédit supplémentaire de 360 millions de dollars pour le Ghana.
C'est un accord très important qui vient d'être signé entre le Ghana, ses créanciers, et le Fonds monétaire international (FMI). Après de longues négociations, les investisseurs internationaux ont approuvé un plan pour restructurer une partie de la dette du pays.
Il y a deux ans, la situation économique du pays était critique : inflation historique, chute de la monnaie. Résultat : le Ghana avait dû suspendre le paiement de sa dette extérieure, évaluée à 30 milliards de dollars. Un défaut de paiement.
Il lui aura fallu deux ans pour négocier avec les créanciers internationaux. Grâce à un montage financier – techniquement, un échange d'obligations contre de la nouvelle dette –, celle-ci va baisser de 4 milliards de dollars sur les deux prochaines années. De quoi sortir le pays du défaut de paiement avant les élections de décembre prochain.
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