Le gouvernement du Sénégal travaille à être parmi les pays avant-gardistes dans la recherche de la paix et la sécurité dans le monde, a affirmé, mardi à Dakar, le ministre sénégalais des Forces armées, Augustin Tine. L'ambition du Sénégal, ''c’est de travailler à faire en sorte que nous soyons à l’avant-garde de ceux qui cherchent la paix et la sécurité dans le monde’’, a-t-il dit.
Le ministre sénégalais des Forces armées s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture du Ccurs sous-régional de formation à l’intention de douaniers africains des Etats parties d’Afrique Centrale, du Nord et de l’Ouest sur des aspects techniques du régime des transferts de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques.
Indiquant que le monde est ''un village planétaire’’, M. Tine a déclaré que ‘’toutes les conditions sont réunies pour que les Sénégalais soient protégés''.
''Dans le monde entier, nous avons souffert de ces armes chimiques. Depuis déjà les deux premières guerres mondiales jusqu'à tout récemment en Syrie, les êtres humains ont souffert tantôt des effets néfastes tantôt des mutilations'', a rappelé Augustin Tine.
''Le Sénégal a très tôt ratifié les aspects juridiques afférant à cette organisation. Notre pays a très tôt compris qu’il fallait s’engager dans cette voie pour sauver l’humanité des dangers des armes chimiques’’, a-t-il martelé.
Selon le ministre des Forces armées, ''c’est ensemble seulement que les Sénégalais réussiront à apporter la paix et la sécurité dans le pays''.
Il a souligné ''qu’une bonne maîtrise des dispositions de la Convention sur les armes chimiques par les fonctionnaires des douanes permettra une réduction, voire une disparition des quantités de produits chimiques (...)''.
Le ministre sénégalais des Forces armées s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture du Ccurs sous-régional de formation à l’intention de douaniers africains des Etats parties d’Afrique Centrale, du Nord et de l’Ouest sur des aspects techniques du régime des transferts de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques.
Indiquant que le monde est ''un village planétaire’’, M. Tine a déclaré que ‘’toutes les conditions sont réunies pour que les Sénégalais soient protégés''.
''Dans le monde entier, nous avons souffert de ces armes chimiques. Depuis déjà les deux premières guerres mondiales jusqu'à tout récemment en Syrie, les êtres humains ont souffert tantôt des effets néfastes tantôt des mutilations'', a rappelé Augustin Tine.
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