Le Syndicat des travailleurs de la justice (Sytjust) n’est nullement ébranlé par la sortie de leur ministre de tutelle. En effet, dans un communiqué parvenu à PressAfrik, les syndicalistes ont même servi un démenti cinglant à Pr Ismaïla Madior Fall sur la soutenabilité ou non de leurs revendications, exhibant au passage les conclusions issues des concertations avec Birima Mangara.
«Le 29 juin 2018, l’Assemblée Nationale a adopté une Loi de Finance Rectificative (LFR) qui a augmenté les dépenses de personnelle du Ministère de la Justice de 5.197.000.000 Fr, pour prendre en charge les revendications indemnitaires des travailleurs de la Justice. Ce montant a été déterminé après plusieurs rencontres entre le Ministre du Budget, son département et les travailleurs de la Justice », précisent-ils dans le document.
Et de poursuivre : «Dès lors, le Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST) informe l’opinion publique que ses demandes sont bel et bien prises en compte par le budget, contrairement aux affirmations du Ministre de la Justice. Il ne se pose aucun problème de soutenabilité».
Donc, soulignent-ils, ils sont dans leurs droits en réclamant «le respect de la mise en œuvre de la dite Loi de Finance Rectificative », d’autant plus qu’ils méritent des rémunérations décentes.»
«Le 29 juin 2018, l’Assemblée Nationale a adopté une Loi de Finance Rectificative (LFR) qui a augmenté les dépenses de personnelle du Ministère de la Justice de 5.197.000.000 Fr, pour prendre en charge les revendications indemnitaires des travailleurs de la Justice. Ce montant a été déterminé après plusieurs rencontres entre le Ministre du Budget, son département et les travailleurs de la Justice », précisent-ils dans le document.
Et de poursuivre : «Dès lors, le Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST) informe l’opinion publique que ses demandes sont bel et bien prises en compte par le budget, contrairement aux affirmations du Ministre de la Justice. Il ne se pose aucun problème de soutenabilité».
Donc, soulignent-ils, ils sont dans leurs droits en réclamant «le respect de la mise en œuvre de la dite Loi de Finance Rectificative », d’autant plus qu’ils méritent des rémunérations décentes.»
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