Deux jours de discussion pour mobiliser les investissements privés, promouvoir l’emploi des jeunes et réduire au mieux la pauvreté, c’est l’objectif.
Et Faure Gnassingbé, qui lancé en mars dernier un Plan national de développement dont le coût est estimé à plus de 4 600 milliards de francs CFA soit plus de 7 milliards d’euros, met le cap. « En offrant ainsi des perspectives d’épanouissement à nos jeunes, nous les préservons des périls où ils sont souvent entraînés par le désespoir et l’absence d’horizons. Nous devons, de ce fait, persévérer dans la recherche de solutions pour mettre fin au spectacle désolant des embarcations de migrants clandestins, emportant au loin les cerveaux et les bras qui doivent normalement construire nos pays et notre continent ».
Tout est mis en œuvre pour y arriver. Cependant il faut changer le paradigme des formations comme nous l'explique Yves Badohun, vice-président du conseil national du patronat. « Le changement de paradigme va jusque dans nos universités. Il faut qu’il y ait une adéquation avec la formation ».
Les autorités togolaises s’y engagent dans divers secteurs, comme dans l’agrobusiness. « Aujourd’hui, l’agriculture est perçue comme un secteur très risqué. C’est pour cela, malheureusement, que les taux d’intérêt sont très prohibitifs, regrette Rékya Madougou, ministre conseiller spécial à la présidence de la république togolaise. Mais quand on dé-risque le secteur, en faisant parler la chaîne de valeurs agricoles et la chaîne de valeurs financières on arrive à des taux d’intérêt vraiment très attrayants, qui permettent aux investisseurs de se dire qu’on peut s’enrichir dans l’agriculture, sans forcément avoir un risque élevé ».
Une Chambre de commerce européenne au Togo a été lancée en présence d’hommes d’affaires et d’économistes, comme Carlos Lopez, l’ex-secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique. Le vice-Président de l’Union européenne, Jyrki Katainen, présent au Forum, a réitéré l’engagement de l’Union à poursuivre son accompagnement pour l’amélioration du climat des affaires au Togo, afin d’attirer plus d’investisseurs.
Encore faut-il que les investisseurs signent les chèques.
Et Faure Gnassingbé, qui lancé en mars dernier un Plan national de développement dont le coût est estimé à plus de 4 600 milliards de francs CFA soit plus de 7 milliards d’euros, met le cap. « En offrant ainsi des perspectives d’épanouissement à nos jeunes, nous les préservons des périls où ils sont souvent entraînés par le désespoir et l’absence d’horizons. Nous devons, de ce fait, persévérer dans la recherche de solutions pour mettre fin au spectacle désolant des embarcations de migrants clandestins, emportant au loin les cerveaux et les bras qui doivent normalement construire nos pays et notre continent ».
Tout est mis en œuvre pour y arriver. Cependant il faut changer le paradigme des formations comme nous l'explique Yves Badohun, vice-président du conseil national du patronat. « Le changement de paradigme va jusque dans nos universités. Il faut qu’il y ait une adéquation avec la formation ».
Les autorités togolaises s’y engagent dans divers secteurs, comme dans l’agrobusiness. « Aujourd’hui, l’agriculture est perçue comme un secteur très risqué. C’est pour cela, malheureusement, que les taux d’intérêt sont très prohibitifs, regrette Rékya Madougou, ministre conseiller spécial à la présidence de la république togolaise. Mais quand on dé-risque le secteur, en faisant parler la chaîne de valeurs agricoles et la chaîne de valeurs financières on arrive à des taux d’intérêt vraiment très attrayants, qui permettent aux investisseurs de se dire qu’on peut s’enrichir dans l’agriculture, sans forcément avoir un risque élevé ».
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