La menace terroriste semble être au coeur des préoccupations, pour le leader de l'Apr. D’où l’importance, selon lui, d’œuvrer pour une diplomatie de «paix et de sécurité ». La présence d’Aqmi dans la bande saharo-sahélien et celle de Boko Haram dans le nord du Nigéria prouve dit-il que «la période de stabilité régionale dans laquelle nous sommes rentrés depuis cette année est précaire. Elle est menacée avec la présence d’Aqmi, l’essor des trafic de drogue, d’êtres humains, d’armes, de cigarettes, les conflits de pouvoir, la montée des intégrismes de tous genres, l’intolérance politique et confessionnelle, les dissensions ethno-religieuses entre autres ». Et d’ajouter qu’ « il est évident que le Sénégal ne peut, seul, faire face efficacement à ces menaces. En effet, chacun de ces types de menace est source de pression sur la paix, la stabilité et la sécurité régionale, voire internationale.
Le Sénégal ne saurait être soustrait de manière formelle de cet espace couvert. Ce bras de la nébuleuse Al Qaida se déploie plutôt au Mali voisin, en Mauritanie, au Niger, au Tchad et un peu plus au Nord, en Algérie. Le pays doit s’impliquer activement dans l’action collective et l’effort constant des pays directement concernés pour sa sécurité, celle de l’Afrique et du monde ». Sur ce, la question de la migration ne sera pas jetée aux gémonies. Dans sa communication, notant près de 90 % de notre diaspora est installée dans les pays africains, il poursuit en ces termes que « Je comprends bien les préoccupations européennes de contrôle des flux migratoires, de lutte contre l’insécurité et les menaces terroristes mais ma conviction est faite que rien ni personne ne pourra mettre fin aux mouvements migratoires dans le monde, légaux ou illégaux. Il faut un plan de dialogue constructif ».
Le Sénégal ne saurait être soustrait de manière formelle de cet espace couvert. Ce bras de la nébuleuse Al Qaida se déploie plutôt au Mali voisin, en Mauritanie, au Niger, au Tchad et un peu plus au Nord, en Algérie. Le pays doit s’impliquer activement dans l’action collective et l’effort constant des pays directement concernés pour sa sécurité, celle de l’Afrique et du monde ». Sur ce, la question de la migration ne sera pas jetée aux gémonies. Dans sa communication, notant près de 90 % de notre diaspora est installée dans les pays africains, il poursuit en ces termes que « Je comprends bien les préoccupations européennes de contrôle des flux migratoires, de lutte contre l’insécurité et les menaces terroristes mais ma conviction est faite que rien ni personne ne pourra mettre fin aux mouvements migratoires dans le monde, légaux ou illégaux. Il faut un plan de dialogue constructif ».
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