Le pape Léon XIV a appelé dimanche 23 novembre à la libération « immédiate » des plus de 300 élèves et enseignants enlevés par des hommes armés dans une école catholique au Nigeria, lors de l'un des plus importants kidnappings de masse du pays. Cinquante des élèves enlevés ont réussi à s'échapper, a annoncé ce dimanche l'Association chrétienne du Nigeria dans un communiqué.
« J'ai appris avec une immense tristesse la nouvelle de l'enlèvement de prêtres, de fidèles et d'élèves au Nigeria », a-t-il déclaré.
L'Association chrétienne du Nigeria (CAN) a indiqué samedi que des hommes armés avaient enlevé 315 personnes, élèves et enseignants, dans une école catholique de l'ouest du Nigeria la veille, après déjà un événement similaire en début de semaine dans un lycée du nord-ouest du pays (25 jeunes filles enlevées).
C’est l’un des plus importants kidnappings de ces dernières années, dans une région régulièrement ciblée par des groupes criminels qui opèrent dans la brousse. Ce dimanche matin, le pape Léon XIV depuis le Vatican a lancé un appel à la libération immédiate de ces élèves.
« Je lance un appel pressant pour la libération immédiate des otages », a ajouté Léon XIV, exprimant sa « profonde tristesse, en particulier pour les nombreux jeunes hommes et femmes enlevés et pour leurs familles angoissées ». « Prions pour nos frères et sœurs et pour que les églises et les écoles demeurent toujours et partout des lieux de sécurité et d'espoir », a-t-il conclu à la fin de la prière de l'Angélus.
Cinquante élèves parmi les plus de 300 enlevés vendredi ont échappé à leurs ravisseurs, a annoncé dimanche dans un communiqué l'Association chrétienne du Nigeria. « Nous avons reçu une bonne nouvelle : 50 élèves se sont échappés et ont retrouvé leurs parents », a déclaré l'Association chrétienne du Nigeria dans un communiqué, précisant qu'ils se sont évadés entre vendredi et samedi.
Les garçons et filles enlevés à St. Mary, âgés de 8 à 18 ans, représentent près de la moitié des 629 élèves de l'établissement.
Cet enlèvement survient après qu'un autre groupe d'hommes armés a pris d'assaut, lundi, un lycée de l'État voisin de Kebbi, d'où 25 jeunes filles ont été enlevées. Ces événements alimentent les craintes pour la sécurité dans le pays le plus peuplé d'Afrique et ont entraîné la fermeture par précaution de nombreux établissements scolaires à travers le pays.
Ces deux enlèvements de masse ont eu lieu alors que le président américain Donald Trump a récemment menacé d'une intervention militaire au Nigeria à cause de ce qu'il a qualifié de massacres de chrétiens par des islamistes radicaux. Les autorités nigérianes ont souligné que les tueries des jihadistes et des bandes criminelles touchent indifféremment chrétiens comme musulmans, qui représentent chacun à peu près la moitié de la population.
« J'ai appris avec une immense tristesse la nouvelle de l'enlèvement de prêtres, de fidèles et d'élèves au Nigeria », a-t-il déclaré.
L'Association chrétienne du Nigeria (CAN) a indiqué samedi que des hommes armés avaient enlevé 315 personnes, élèves et enseignants, dans une école catholique de l'ouest du Nigeria la veille, après déjà un événement similaire en début de semaine dans un lycée du nord-ouest du pays (25 jeunes filles enlevées).
C’est l’un des plus importants kidnappings de ces dernières années, dans une région régulièrement ciblée par des groupes criminels qui opèrent dans la brousse. Ce dimanche matin, le pape Léon XIV depuis le Vatican a lancé un appel à la libération immédiate de ces élèves.
« Je lance un appel pressant pour la libération immédiate des otages », a ajouté Léon XIV, exprimant sa « profonde tristesse, en particulier pour les nombreux jeunes hommes et femmes enlevés et pour leurs familles angoissées ». « Prions pour nos frères et sœurs et pour que les églises et les écoles demeurent toujours et partout des lieux de sécurité et d'espoir », a-t-il conclu à la fin de la prière de l'Angélus.
50 des élèves enlevés ont réussi à s'échapper
Cinquante élèves parmi les plus de 300 enlevés vendredi ont échappé à leurs ravisseurs, a annoncé dimanche dans un communiqué l'Association chrétienne du Nigeria. « Nous avons reçu une bonne nouvelle : 50 élèves se sont échappés et ont retrouvé leurs parents », a déclaré l'Association chrétienne du Nigeria dans un communiqué, précisant qu'ils se sont évadés entre vendredi et samedi.
Les garçons et filles enlevés à St. Mary, âgés de 8 à 18 ans, représentent près de la moitié des 629 élèves de l'établissement.
Cet enlèvement survient après qu'un autre groupe d'hommes armés a pris d'assaut, lundi, un lycée de l'État voisin de Kebbi, d'où 25 jeunes filles ont été enlevées. Ces événements alimentent les craintes pour la sécurité dans le pays le plus peuplé d'Afrique et ont entraîné la fermeture par précaution de nombreux établissements scolaires à travers le pays.
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