Le combattant d'Al Shabaab avait été considéré comme tué lors de l'opération des forces spéciales kenyane pour libérer le Dusit, le complexe hôtelier visé par les terroristes.
Ali Salim Gichunge avait été vu en compagnie des hommes qui ont ensuite attaqué le complexe. L'enquête en cours a permis de l'identifier et la maison dans laquelle il vivait à Ruaka, une commune populaire au nord de Nairobi. Sa piste a été remontée à l'aide de la voiture utilisée par les assaillants.
Son domicile a été perquisitionné mercredi et les policiers y auraient trouvé une cache d'armes.
La femme d'une vingtaine d'années avec qui il vivait, Violet Kemunto Omwoyo, a été arrêtée, au même titre qu'un deuxième suspect. Sa petite amie se serait décrite sur son profil WhatsApp comme une épouse d'Al Shabaab.
La mère de Gichunge a ensuite été arrêtée à son domicile, à près de 300 kilomètres au nord de Nairobi. Il est également apparu que le père du suspect est un officier militaire qui s'était séparé de sa famille.
Le quotidien Star Newspaper souligne que l'officier aurait perdu contact avec son fils en 2015, et soupçonne qu'Ali Salim Gichunge se serait radicalisé dans ce laps de temps.
Selon la police, 21 personnes ont trouvé la mort à la suite de l'attentat perpétré mardi par des djihadistes à Nairobi.
Les autorités kenyanes ont promis de tout mettre en œuvre pour sécuriser les populations et neutraliser tous ceux qui sont impliqués dans l'attentat de mardi dernier.
La mère de Gichunge a ensuite été arrêtée à son domicile, à près de 300 kilomètres au nord de Nairobi. Il est également apparu que le père du suspect est un officier militaire qui s'était séparé de sa famille.
Le quotidien Star Newspaper souligne que l'officier aurait perdu contact avec son fils en 2015, et soupçonne qu'Ali Salim Gichunge se serait radicalisé dans ce laps de temps.
Selon la police, 21 personnes ont trouvé la mort à la suite de l'attentat perpétré mardi par des djihadistes à Nairobi.
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