« Surpris » par la pléthore de listes, 47 au total, en lice pour les législatives du 30 juillet 2017, « Diego » se dit « persuadé que la plupart de ces gens perdent leurs temps, leur énergie et surtout jettent leur argent par la fenêtre ». « Les quinze (15) millions qui servent de caution auraient pu être utilisés à des fins beaucoup plus utiles », soutient l’artiste.
Souleymane Faye qui a « comme l’impression que ces gens font du poker », relève dans une interview accordée à « l’Observateur » que « la politique est un art et bon nombre de ces personnes qui constituent la classe politique au Sénégal, ne s’y connaissent pas ».
« Ils ne posent aucun acte pour rendre agréable la vie de la cité. Ce sont ceux-là qui, une fois, élus, vont se mettre à applaudir ou dormir à l’hémicycle. Leurs voix ne seront jamais entendus et compteront pour zéro », déplore-t-il.
« Très peiné par les messages violents que véhiculent certains candidats », « Diégo » prône l’apaisement. « Tout peut se régler pacifiquement, on n’a pas besoin de lever certains lièvres pour nuire à son adversaire ou encore dire des insanités à son encontre », préconise-t-il.
En lieu et place de ce qu’il propose, il retient que « d’autres poussent le bouchon plus loin et vont jusqu’à la violence physique ». Pis, « ils engagent des nervis et des voyous pour semer le trouble », dénonce Souleymane Faye qui interpelle « directement ces jeunes que l’on achète avec de modiques sommes ».
« Il ne faut pas qu’ils soient dupes et acceptent de se laisser mener à la baguette par des gens qui n’exposeront jamais leurs propres enfants à ces périls », leur conseille-t-il.
Poursuivant, il ajoute que « ces jeunes mus par l’appât du gain et prêts à prendre des risques pour juste offrir des voix de plus à un candidat, n’ont pas compris qu’ils sacrifient leur vie ou leur liberté ».
« Ce qui est encore plus déplorable, c’est que les agresseurs, les voleurs, les bandits, se mettent dans la danse. Ils profitent des rassemblements pour dépouiller d’honnêtes citoyens de leurs biens », soutient-il.
Intervenant sur la campagne du président sortant, Abdoulaye Wade, il est d’avis que « cela traduit la vitalité de la démocratie au Sénégal ». Affichant son soutien au président Sall en raison des « relations fraternelles » qui les lient, Souleymane Faye indique toutefois que le Pape du Sopi « ne peut pas barrer la route à Macky Sall ».
Selon lui, ce serait du « gâchis » que ce dernier n’ait pas un second mandat car « avec un seul, ses réalisations et ses ambitions pour le Sénégal ne pourront pas aboutir ».
Souleymane Faye qui a « comme l’impression que ces gens font du poker », relève dans une interview accordée à « l’Observateur » que « la politique est un art et bon nombre de ces personnes qui constituent la classe politique au Sénégal, ne s’y connaissent pas ».
« Ils ne posent aucun acte pour rendre agréable la vie de la cité. Ce sont ceux-là qui, une fois, élus, vont se mettre à applaudir ou dormir à l’hémicycle. Leurs voix ne seront jamais entendus et compteront pour zéro », déplore-t-il.
« Très peiné par les messages violents que véhiculent certains candidats », « Diégo » prône l’apaisement. « Tout peut se régler pacifiquement, on n’a pas besoin de lever certains lièvres pour nuire à son adversaire ou encore dire des insanités à son encontre », préconise-t-il.
En lieu et place de ce qu’il propose, il retient que « d’autres poussent le bouchon plus loin et vont jusqu’à la violence physique ». Pis, « ils engagent des nervis et des voyous pour semer le trouble », dénonce Souleymane Faye qui interpelle « directement ces jeunes que l’on achète avec de modiques sommes ».
« Il ne faut pas qu’ils soient dupes et acceptent de se laisser mener à la baguette par des gens qui n’exposeront jamais leurs propres enfants à ces périls », leur conseille-t-il.
Poursuivant, il ajoute que « ces jeunes mus par l’appât du gain et prêts à prendre des risques pour juste offrir des voix de plus à un candidat, n’ont pas compris qu’ils sacrifient leur vie ou leur liberté ».
« Ce qui est encore plus déplorable, c’est que les agresseurs, les voleurs, les bandits, se mettent dans la danse. Ils profitent des rassemblements pour dépouiller d’honnêtes citoyens de leurs biens », soutient-il.
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