Fadel Barro, Thiat, Malal Talla dit «Fou malade» et Cie n’entendent pas rester spectateurs aux prochaines élections. Le mouvement «Y’en a marre» est en train de tisser sa toile pour siéger à l’Assemblée nationale. Dans une sorte de manifeste dont «Wal fadjri» a obtenu copie, le mouvement dénommé «Ifanan» décline sa vision, sa raison d’être et ses valeurs.
Dans sa vision par exemple, le mouvement rêve d’un Sénégal «prospère, modèle de laïcité, de citoyenneté et de spiritualité, construit par ses enfants épanouis, où l’équité, la démocratie, les droits fondamentaux, les libertés et la dignité humaine sont préservés et promus».
Dans sa mission, «Ifanan» précise qu’il est un mouvement qui promeut une citoyenneté active et politiquement engagée. «Il est indépendant et non partisan, équidistant des partis politiques mais ouvert. «Ifanan» adopte, dans toutes ses actions et ses prises de position, la réflexion stratégique, la bataille des idées, une démarche participative et inclusive afin de bâtir des consensus forts et durables. «Ifanan» est une force sociale de proposition et de reconstruction», peut-on lire dans le document signé par Fadel Barro, le coordonnateur du mouvement «Y’en a marre», Moustapha Gueye alias Petit Gueye, maire de Sokone et porte-parole du mouvement, Mamadou Lamine Dianté, ancien Secrétaire général du SAEMS – CUSEMS.
«Ifanan» qui a pour mission «de porter les citoyens au pouvoir et de remettre au travail les Institutions», ambitionne «de mettre en œuvre des projets de transformation sociale et institutionnelle, à ancrage politique, culturel, économique et environnemental».
Expliquant sa raison d’être, le mouvement explique que «notre pays a connu deux (2) alternances politiques sans effet positif notable induit sur les comportements et les pratiques des acteurs politiques. La précarité persistante et grandissante des conditions de vie des populations des banlieues et des terroirs de l’intérieur contraste d’avec les richesses immenses et indues des dirigeants politiques, actuels ou anciens, gestionnaires des deniers publics».
Aussi, ajoutent Fadel Barro et Cie : «La carence de l’Assemblée nationale dans l’exécution de ses missions (approbation du budget, contrôles de l’action gouvernementale, etc.) est notoire. Le Parlement est devenu au fil des alternances, une Assemblée des partis politiques dont les représentants excellent dans les «khoulo» et les «Tessanté». Les Sénégalais, dans leur écrasante majorité, aspirent à une nouvelle offre d’un Parlement rénové avec un nouveau type de député imbu de valeurs et d’engagements citoyens… ».
Dans sa vision par exemple, le mouvement rêve d’un Sénégal «prospère, modèle de laïcité, de citoyenneté et de spiritualité, construit par ses enfants épanouis, où l’équité, la démocratie, les droits fondamentaux, les libertés et la dignité humaine sont préservés et promus».
Dans sa mission, «Ifanan» précise qu’il est un mouvement qui promeut une citoyenneté active et politiquement engagée. «Il est indépendant et non partisan, équidistant des partis politiques mais ouvert. «Ifanan» adopte, dans toutes ses actions et ses prises de position, la réflexion stratégique, la bataille des idées, une démarche participative et inclusive afin de bâtir des consensus forts et durables. «Ifanan» est une force sociale de proposition et de reconstruction», peut-on lire dans le document signé par Fadel Barro, le coordonnateur du mouvement «Y’en a marre», Moustapha Gueye alias Petit Gueye, maire de Sokone et porte-parole du mouvement, Mamadou Lamine Dianté, ancien Secrétaire général du SAEMS – CUSEMS.
«Ifanan» qui a pour mission «de porter les citoyens au pouvoir et de remettre au travail les Institutions», ambitionne «de mettre en œuvre des projets de transformation sociale et institutionnelle, à ancrage politique, culturel, économique et environnemental».
Expliquant sa raison d’être, le mouvement explique que «notre pays a connu deux (2) alternances politiques sans effet positif notable induit sur les comportements et les pratiques des acteurs politiques. La précarité persistante et grandissante des conditions de vie des populations des banlieues et des terroirs de l’intérieur contraste d’avec les richesses immenses et indues des dirigeants politiques, actuels ou anciens, gestionnaires des deniers publics».
Aussi, ajoutent Fadel Barro et Cie : «La carence de l’Assemblée nationale dans l’exécution de ses missions (approbation du budget, contrôles de l’action gouvernementale, etc.) est notoire. Le Parlement est devenu au fil des alternances, une Assemblée des partis politiques dont les représentants excellent dans les «khoulo» et les «Tessanté». Les Sénégalais, dans leur écrasante majorité, aspirent à une nouvelle offre d’un Parlement rénové avec un nouveau type de député imbu de valeurs et d’engagements citoyens… ».
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