Le collectif des 22 notaires admis au concours d’accès à la profession organisé en 2013, non encore titularisés remporte la première manche de leur combat contre l’Etat du Sénégal. Face à la presse ce mercredi, le porte-parole du collectif Me Elhadji Mansour Diop a annoncé que le gouvernement a retiré le projet de décret portant sur la création de sept (7) nouvelles charges, qui devait passer ce mercredi 30 janvier 2019 au Conseil des ministres.
« Nous avions tenu la dernière fois un point de presse, c’était parce que nous avions découvert que le ministre de la Justice avait préparé un projet en catimini, pour introduire en cachette ce mercredi une signature du projet de décret qui avait pour conséquence de ne créer que sept (7) charges de notaires et avec des conséquences qui allaient entraîner notre exclusion de la profession de notariat. Après opposition, nous avons appris d’une source sûre que le projet a été retiré de la table du Conseil des ministres. Ils ont reculé sur ce point», a déclaré Me Diop.
Ce collectif des 22 notaires qui ne cherchent pas seulement le retrait du projet, mais également la signature immédiate d’un décret de nomination leur permettant de créer des cabinets privé,s donne à l’Etat un ultimatum de 48 heures.
« Nous restons déterminer parce que ce qu'’ils font, ils le font en cachette. Nous avons appris que le blocage concernant la création des 32 charges viendrait du Palais. Et si on nous pousse à bout, nous serons obligés de révéler les informations dont nous disposons. Aujourd’hui, nous avions promis l’immolation par le feu de tous nos diplômes. Mais cette immolation était dictée par le fait que le projet de décret aller être présenté au président de la République. Et le ministre nous a confirmé son retrait. Maintenant, nous leur donnons un délai de 48 heures. Si le décret n’est pas signé, nous allons exposer dans la place publique des informations explosives », a promis leur porte parole.
Me Christophe Diouf, à son tour, a annoncé que des correspondances seront adressées au Partenaires techniques et financiers du Sénégal notamment à l’UE, la FMI, la Banque mondiale, que la politique d'emploi n'était en réalité pas une priorité pour le régime en place. «Nous avons appris à nos dépens, que ce sont des intrigues et des lobbyings qui ont eu raison de la détermination du Président de République de créer des emplois, et maintenant ces lobbyings seront portés sur la place publique. Car nous n’allons pas accepter d’être sacrifiés. »
« Nous avions tenu la dernière fois un point de presse, c’était parce que nous avions découvert que le ministre de la Justice avait préparé un projet en catimini, pour introduire en cachette ce mercredi une signature du projet de décret qui avait pour conséquence de ne créer que sept (7) charges de notaires et avec des conséquences qui allaient entraîner notre exclusion de la profession de notariat. Après opposition, nous avons appris d’une source sûre que le projet a été retiré de la table du Conseil des ministres. Ils ont reculé sur ce point», a déclaré Me Diop.
Ce collectif des 22 notaires qui ne cherchent pas seulement le retrait du projet, mais également la signature immédiate d’un décret de nomination leur permettant de créer des cabinets privé,s donne à l’Etat un ultimatum de 48 heures.
« Nous restons déterminer parce que ce qu'’ils font, ils le font en cachette. Nous avons appris que le blocage concernant la création des 32 charges viendrait du Palais. Et si on nous pousse à bout, nous serons obligés de révéler les informations dont nous disposons. Aujourd’hui, nous avions promis l’immolation par le feu de tous nos diplômes. Mais cette immolation était dictée par le fait que le projet de décret aller être présenté au président de la République. Et le ministre nous a confirmé son retrait. Maintenant, nous leur donnons un délai de 48 heures. Si le décret n’est pas signé, nous allons exposer dans la place publique des informations explosives », a promis leur porte parole.
Me Christophe Diouf, à son tour, a annoncé que des correspondances seront adressées au Partenaires techniques et financiers du Sénégal notamment à l’UE, la FMI, la Banque mondiale, que la politique d'emploi n'était en réalité pas une priorité pour le régime en place. «Nous avons appris à nos dépens, que ce sont des intrigues et des lobbyings qui ont eu raison de la détermination du Président de République de créer des emplois, et maintenant ces lobbyings seront portés sur la place publique. Car nous n’allons pas accepter d’être sacrifiés. »
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