L’Intersyndicale «And Gueusseum», qui réunit les syndicats du secteur de la santé, a entamé une grève de 72 heures à compter de ce vendredi, qui sera suivie d’une évaluation. La coalition a investi les rues de Keur Massar pour exiger du gouvernement le respect des accords signés. Il réclame entre autres : le paiement des arriérés de salaire, et les dettes de la couverture maladie universelle. Ndiogou Sarr Gueye et ses camarades ont aussi déploré l’attitude du ministre Abdoulaye Diouf Sarr qui refuse de négocier.
« ‘’And gueusseum’’ de manière général, depuis presque un mois, est sur le terrain de la lutte pour revendiquer un certain nombre de points, dont le plus importants est le respect des accords signés avec l’Etat en 2014. Il s’y est ajouté un certain de nombre de problèmes, notamment la question des différents contractuels, dont certains sont restés 8 mois, pour d’autres 5 mois sans salaire », a rappelé leur porte-parole, Ndiogou Sarr Gueye.
Ce qui est « inacceptable dans un pays démocratique », selon lui. Poursuivant ses propos, il ajoute : « la question de la dette qui n’est pas remboursée ou qui est remboursée à compte-goutte par l’Etat. Aussi la question des nombreux communautaires qui sont dans les structures de santé, qui travaillent de façon bénévole pour le peuple, de manière injuste, parce que rémunérer de façon inacceptable ».
« ‘’And gueusseum’’ de manière général, depuis presque un mois, est sur le terrain de la lutte pour revendiquer un certain nombre de points, dont le plus importants est le respect des accords signés avec l’Etat en 2014. Il s’y est ajouté un certain de nombre de problèmes, notamment la question des différents contractuels, dont certains sont restés 8 mois, pour d’autres 5 mois sans salaire », a rappelé leur porte-parole, Ndiogou Sarr Gueye.
Ce qui est « inacceptable dans un pays démocratique », selon lui. Poursuivant ses propos, il ajoute : « la question de la dette qui n’est pas remboursée ou qui est remboursée à compte-goutte par l’Etat. Aussi la question des nombreux communautaires qui sont dans les structures de santé, qui travaillent de façon bénévole pour le peuple, de manière injuste, parce que rémunérer de façon inacceptable ».
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