Des miliciens réclamant une « épuration » de l’administration ont encerclé le ministère des Affaires étrangères libyen, à Tripoli, ce dimanche 28 avril. REUTERS/Stringer
Malgré l’adoption de la loi d’exclusion politique, plusieurs ministères sont encore encerclés par des groupes d’hommes armés. Ceux-ci, une trentaine devant le ministère des Affaires étrangères, disent être d’anciens combattants.
Accompagnés d’une vingtaine de pick-up montés de canons antiaériens, ces hommes qui refusent le qualificatif de « miliciens » insistent sur l’aspect pacifique de leur mouvement.
Dimanche, dans la nuit, des négociations ont eu lieu entre plusieurs groupes d’anciens combattants, pour demander le départ du Premier ministre Ali Zeidan et de son gouvernement.
Un des dirigeants du conseil opérationnel des révolutionnaires libyens confirmait à demi-mot son intention de voir Ali Zeidan quitter le pouvoir. Selon lui, le Premier ministre a laissé trop de partisans de l’ancien régime à des postes à responsabilité. Il a aussi laissé entendre qu’il maintiendrait la pression jusqu’à un changement de gouvernement.
Source: RFI
Accompagnés d’une vingtaine de pick-up montés de canons antiaériens, ces hommes qui refusent le qualificatif de « miliciens » insistent sur l’aspect pacifique de leur mouvement.
Dimanche, dans la nuit, des négociations ont eu lieu entre plusieurs groupes d’anciens combattants, pour demander le départ du Premier ministre Ali Zeidan et de son gouvernement.
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