La polémique sur la spoliation foncière à Tivaouane Peul continue de s'intensifier. Après les accusations de la coopérative des enseignants, qui le qualifiait de "grand voleur" de terrains, El Hadji Dia Ousso a réagi, réfutant les allégations et défendant son innocence. Contacté par PressAfrik, il a contre-attaqué en accusant les membres de la coopérative de l'avoir spolié.
El Hadji Dia Ousso a fermement rejeté les accusations de vol de terrains. Il a déclaré n'avoir "aucun problème avec la coopérative" mais a pointé du doigt les responsables de celle-ci, M. Ba et M. Thiam, les accusant d'être ceux qui ont "vendu [ses] terres". Il affirme avoir porté l'affaire en justice et que la préfecture de Sangalcam, après vérification, a confirmé la validité de ses documents fonciers, contrairement à ceux de la coopérative.
Selon lui, la justice lui a donné raison, lui accordant plus d'un milliard de francs CFA de dommages et intérêts. "Ils ont continué à construire", a-t-il poursuivi, affirmant que la DESCOS a dû intervenir pour arrêter les travaux illégaux. Il a également accusé la coopérative de posséder de "faux papiers" et de vendre des parcelles, y compris des espaces verts, des marchés et des terrains religieux.
El Hadji Dia Ousso a également évoqué des incidents violents, notamment des agressions physiques contre sa famille et la destruction de son véhicule. Il a promis de fournir tous les documents nécessaires pour prouver qu'il est le propriétaire légitime des terrains contestés. "Je laisse le soin à la justice de trancher", a-t-il déclaré.
De leur côté, les enseignants de la coopérative ont fait savoir qu'ils continueront leur combat pour la reconnaissance des droits fonciers des victimes. La situation demeure tendue et devrait être clarifiée par l'intervention des autorités compétentes.
El Hadji Dia Ousso a fermement rejeté les accusations de vol de terrains. Il a déclaré n'avoir "aucun problème avec la coopérative" mais a pointé du doigt les responsables de celle-ci, M. Ba et M. Thiam, les accusant d'être ceux qui ont "vendu [ses] terres". Il affirme avoir porté l'affaire en justice et que la préfecture de Sangalcam, après vérification, a confirmé la validité de ses documents fonciers, contrairement à ceux de la coopérative.
Selon lui, la justice lui a donné raison, lui accordant plus d'un milliard de francs CFA de dommages et intérêts. "Ils ont continué à construire", a-t-il poursuivi, affirmant que la DESCOS a dû intervenir pour arrêter les travaux illégaux. Il a également accusé la coopérative de posséder de "faux papiers" et de vendre des parcelles, y compris des espaces verts, des marchés et des terrains religieux.
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