Le porte-parole de la présidence de la République du Sénégal, Seydou Guèye a énuméré ce dimanche des efforts fournis par l'État dans la lutte contre la corruption, suite à la publication du rapport de Transparency International classant le pays dans la zone rouge. Il s'est dit aussi outré par la sortie de l'opposant Ousmane Sonko, qui a accusé le président Sall d'être l'Alpha et l'oméga de la corruption.
"Du point de vue de la norme et du cadre réglementaire, nous avons fait d'énormes progrès. Je prends en exemple l'adhésion à la norme de l'ITIE qui existe depuis 2003. Le Sénégal n'y a adhéré qu'avec l'arrivée de Macky Sall au pouvoir. Et aujourd'hui, le Sénégal fait partie des trois seuls pays dont l'évaluation a conclu à la situation de pays ayant accompli de progrès satisfaisants", a relevé M. Gueye.
Selon lui, ce résultat est un effort en matière de transparence. Dans ce sens, il a rappelé que l'État a retravaillé le code minier pour renforcer la transparence. Mais aussi une évaluation positive de la revue africaine par les paires en 2017. Beaucoup d'efforts ont été faits en matière de transparence, a-t-il insisté.
Parlant de la sortie de Sonko, il a fait d'abord savoir qu'il y a des choses qui ne l'intéressent pas, avant d'ajouter : "quand on est dans l'espace public, il y a une façon d'être présent. C'est avoir un rapport très clair avec la vérité et ne pas être dans des supputations, les accusations ou les manœuvres. Je suis outré de voir en prévenance de ces espaces, ce qui me semble régressif et préoccupant en matière de démocratie. Ce que j'appelle le trop-plein d'égo et le très peu d'idées. C'est de l'intoxication. Et à la limite, il ne faut pas franchir le rubicon parce qu'on pourrait tomber dans la catégorie de la haine qui n'a aucune utilité".
"Du point de vue de la norme et du cadre réglementaire, nous avons fait d'énormes progrès. Je prends en exemple l'adhésion à la norme de l'ITIE qui existe depuis 2003. Le Sénégal n'y a adhéré qu'avec l'arrivée de Macky Sall au pouvoir. Et aujourd'hui, le Sénégal fait partie des trois seuls pays dont l'évaluation a conclu à la situation de pays ayant accompli de progrès satisfaisants", a relevé M. Gueye.
Selon lui, ce résultat est un effort en matière de transparence. Dans ce sens, il a rappelé que l'État a retravaillé le code minier pour renforcer la transparence. Mais aussi une évaluation positive de la revue africaine par les paires en 2017. Beaucoup d'efforts ont été faits en matière de transparence, a-t-il insisté.
Parlant de la sortie de Sonko, il a fait d'abord savoir qu'il y a des choses qui ne l'intéressent pas, avant d'ajouter : "quand on est dans l'espace public, il y a une façon d'être présent. C'est avoir un rapport très clair avec la vérité et ne pas être dans des supputations, les accusations ou les manœuvres. Je suis outré de voir en prévenance de ces espaces, ce qui me semble régressif et préoccupant en matière de démocratie. Ce que j'appelle le trop-plein d'égo et le très peu d'idées. C'est de l'intoxication. Et à la limite, il ne faut pas franchir le rubicon parce qu'on pourrait tomber dans la catégorie de la haine qui n'a aucune utilité".
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