Journal en main, vêtu en jean et une chemise bleue, Pierre Marie Diédhiou, agent au ministère de la culture et de l’équipement rural pense que la violence doit être combattue : « la violence est un phénomène qu’on doit combattre. Il faut revenir sur nos valeurs que sont : l’éducation, la foi religieuse». Selon lui, il y a plusieurs sorte de violence que ça soit physique ou morale, les violences faites aux femmes et aux enfants. Mais la solution doit venir de l’Etat qui «doit jouer un rôle de sensibilisation pour la lutte contre la violence». Lamine Mar assis à côté de lui est du même avis. Il signale que l’Etat est en train de faire un travail remarquable dans ce sens mais il faut qu’il continue. «Bien vrai qu’il est difficile de nous départir de la violence. Il faut revoir les conditions de vie des enfants». M. Mar a aussi souligné les violences que les femmes subissent dans leur ménage.
Awa Ndiaye agent à la Sonatel, elle, s’est plus penchée sur la violence faite aux femmes. Selon elle ; «les femmes doivent bénéficier d’une aide morale car elles sont brutalisées dans les ménages». La violence n’a pas sa place dans notre société, déclare une autre personne qui a préféré garder l’anonymat : « la violence est à éradiquer parce que nocive pour la société, encore pire pour les enfants ». Lui qui s’active dans la lutte contre les violences faites aux enfants trouve que c’est un fléau qui existe malgré les multiples tentatives. «C’est un combat sans fin. Et pour l’éradiquer, il faut commencer à sensibiliser les personnes concernées», préconise-t-il.
Awa Ndiaye agent à la Sonatel, elle, s’est plus penchée sur la violence faite aux femmes. Selon elle ; «les femmes doivent bénéficier d’une aide morale car elles sont brutalisées dans les ménages». La violence n’a pas sa place dans notre société, déclare une autre personne qui a préféré garder l’anonymat : « la violence est à éradiquer parce que nocive pour la société, encore pire pour les enfants ». Lui qui s’active dans la lutte contre les violences faites aux enfants trouve que c’est un fléau qui existe malgré les multiples tentatives. «C’est un combat sans fin. Et pour l’éradiquer, il faut commencer à sensibiliser les personnes concernées», préconise-t-il.
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