La cours suprême de Dakar a abrité ce vendredi la cérémonie d’adoption des lignes directrices sur le traitement judiciaire des dossiers de terrorisme. Ce travail est initié par les présidents des cours suprêmes des six pays du Sahel (Burkina-Faso, Mali, Mauritanie, Niger Sénégal et Tchad), membre de l’Association des hautes juridictions de cassation des pays ayant en partage l’usage du français (AHJUCAF).
La cérémonie d’adoption est présidée par le Garde des Sceaux, Ministre de la justice, Ismaila Madior Fall qui considère le terrorisme comme un : « phénomène qui n’épargne aucun processus ».
La zone du Sahel, vaste est très limité en terme de sécurité est selon le ministre : « Propice à la prolifération des personnes et entreprises djihadistes ainsi que l’expansion des activités terroristes ».
Cette partie de l’Afrique est ciblée par les terroristes qui profitent du manque de surveillance dans les frontières pour dérouler leurs activités.
«Aujourd’hui, l’activisme des organisations terroristes consistent à maitre à profit la porosité des frontières, la prolifération des armes. Cette situation offre un contexte idéal pour le déploiement de criminels et de toutes sortes de crimes organisés : notamment le trafic de drogue, le trafic d’armes, le trafic de médicaments, la cybercriminalité, la corruption, le blanchiment de capitaux qui sont souvent de plusieurs formes ou coller aux faits terroristes », a ajouté Imaila Madior Fall.
La cérémonie d’adoption est présidée par le Garde des Sceaux, Ministre de la justice, Ismaila Madior Fall qui considère le terrorisme comme un : « phénomène qui n’épargne aucun processus ».
La zone du Sahel, vaste est très limité en terme de sécurité est selon le ministre : « Propice à la prolifération des personnes et entreprises djihadistes ainsi que l’expansion des activités terroristes ».
Cette partie de l’Afrique est ciblée par les terroristes qui profitent du manque de surveillance dans les frontières pour dérouler leurs activités.
«Aujourd’hui, l’activisme des organisations terroristes consistent à maitre à profit la porosité des frontières, la prolifération des armes. Cette situation offre un contexte idéal pour le déploiement de criminels et de toutes sortes de crimes organisés : notamment le trafic de drogue, le trafic d’armes, le trafic de médicaments, la cybercriminalité, la corruption, le blanchiment de capitaux qui sont souvent de plusieurs formes ou coller aux faits terroristes », a ajouté Imaila Madior Fall.
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