L’ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, a suggéré, lundi à Dakar, l’élargissement du G5 Sahel à l’Algérie, au Cameroun, au Maroc, au Nigéria et au Sénégal pour devenir G5 Sahel+5 en vue de mieux mutualiser les forces de cette coalition contre le terrorisme.
"L’idée du G5 Sahel est bonne en elle-même (…) mais rien ne nous empêcherait de garder un groupe élargi qui s’appellerait G5 Sahel + 5 (Mauritanie, du Mali, du Burkina Faso, du Niger et du Tchad+ Algérie, Maroc, Cameroun, Nigéria et Sénégal", a-t-il indiqué.
M. Gadio prenait part aux travaux d’une conférence annuelle organisée par Initiative prospective agricole et rurale (IPAR) en collaboration avec le réseau Southern Voice Network for Peacebuilding (Les voix du Sud pour la consolidation de la paix).
D’une durée de deux jours, la rencontre porte sur le thème : "Paix et sécurité dans le Sahel". Plusieurs experts dont Alioune Tine, ancien responsable d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre prennent part à cette conférence.
Lancé le 02 juillet 2016 à Bamako par président français Emmanuel Macron, le G5 Sahel (G5S) est un cadre institutionnel de coordination, composé de la Mauritanie, du Mali, du Burkina Faso, du Niger et du Tchad.
"Dans cette lutte contre le terrorisme au Sahel, on ne peut pas se passer de l’expérience et l’expertise des pays comme l’Algérie, le Maroc et le Sénégal mais aussi des pays qui ont des moyens comme le Nigéria et le Cameroun", a-t-il soutenu.
Il a rappelé que le Sénégal, le nord du Nigéria et du Cameroun font partie du Sahel alors que l’Algérie et le Maroc ont eux aussi des frontières avec le Sahara.
"Si les pays du G5 Sahel sont regroupés avec l’Algérie, le Maroc, le Nigéria, le Cameroun et le Sénégal, la question du financement ne peut plus se poser. Les troupes d’élite de ces pays mises ensemble pourraient apporter une solution", a estimé l’ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères.
"L’idée du G5 Sahel est bonne en elle-même (…) mais rien ne nous empêcherait de garder un groupe élargi qui s’appellerait G5 Sahel + 5 (Mauritanie, du Mali, du Burkina Faso, du Niger et du Tchad+ Algérie, Maroc, Cameroun, Nigéria et Sénégal", a-t-il indiqué.
M. Gadio prenait part aux travaux d’une conférence annuelle organisée par Initiative prospective agricole et rurale (IPAR) en collaboration avec le réseau Southern Voice Network for Peacebuilding (Les voix du Sud pour la consolidation de la paix).
D’une durée de deux jours, la rencontre porte sur le thème : "Paix et sécurité dans le Sahel". Plusieurs experts dont Alioune Tine, ancien responsable d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre prennent part à cette conférence.
Lancé le 02 juillet 2016 à Bamako par président français Emmanuel Macron, le G5 Sahel (G5S) est un cadre institutionnel de coordination, composé de la Mauritanie, du Mali, du Burkina Faso, du Niger et du Tchad.
"Dans cette lutte contre le terrorisme au Sahel, on ne peut pas se passer de l’expérience et l’expertise des pays comme l’Algérie, le Maroc et le Sénégal mais aussi des pays qui ont des moyens comme le Nigéria et le Cameroun", a-t-il soutenu.
Il a rappelé que le Sénégal, le nord du Nigéria et du Cameroun font partie du Sahel alors que l’Algérie et le Maroc ont eux aussi des frontières avec le Sahara.
"Si les pays du G5 Sahel sont regroupés avec l’Algérie, le Maroc, le Nigéria, le Cameroun et le Sénégal, la question du financement ne peut plus se poser. Les troupes d’élite de ces pays mises ensemble pourraient apporter une solution", a estimé l’ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères.
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