
Le Syndicat des pharmaciens privés du Sénégal (SPPS) a annoncé, hier jeudi à Touba, avoir déféré devant la justice cinq grands dépositaires impliqués dans la gestion de dépôts pharmaceutiques clandestins. Cette action rentre dans la lutte contre l’exercice illégal de la pharmacie dans cette ville religieuse du centre du pays, réputée pour l’ampleur de son marché informel du médicament.
« Après avoir entrepris toutes les démarches nécessaires pour sensibiliser les populations, nous avons été contraints de traduire ces faussaires en justice », a déclaré le président du SPPS, Dr Serigne Ahmadou Bamba Ndour, lors d’un point de presse.
Le syndicat dénonce un phénomène devenu « préoccupant » pour la santé publique, avec la prolifération de dépôts non autorisés vendant des médicaments hors du circuit officiel.
« Tout médicament en dehors du circuit d’approvisionnement tracé par les autorités sanitaires, notamment l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP), est considéré comme un faux médicament », a rappelé Dr Ndour. Ainsi, le SPPS a exigé « l’application stricte de la législation en vigueur pour démanteler ces structures illégales », avec le soutien affirmé de l’Ordre des pharmaciens, de l’ARPet du ministère de la Santé.
Les pharmaciens privés, mobilisés, disent vouloir en finir avec ce qu’ils qualifient de « pratiques criminelles », et réaffirment leur détermination « à protéger les citoyens des dangers liés à la circulation de médicaments non contrôlés. »
« Après avoir entrepris toutes les démarches nécessaires pour sensibiliser les populations, nous avons été contraints de traduire ces faussaires en justice », a déclaré le président du SPPS, Dr Serigne Ahmadou Bamba Ndour, lors d’un point de presse.
Le syndicat dénonce un phénomène devenu « préoccupant » pour la santé publique, avec la prolifération de dépôts non autorisés vendant des médicaments hors du circuit officiel.
« Tout médicament en dehors du circuit d’approvisionnement tracé par les autorités sanitaires, notamment l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP), est considéré comme un faux médicament », a rappelé Dr Ndour. Ainsi, le SPPS a exigé « l’application stricte de la législation en vigueur pour démanteler ces structures illégales », avec le soutien affirmé de l’Ordre des pharmaciens, de l’ARPet du ministère de la Santé.
Les pharmaciens privés, mobilisés, disent vouloir en finir avec ce qu’ils qualifient de « pratiques criminelles », et réaffirment leur détermination « à protéger les citoyens des dangers liés à la circulation de médicaments non contrôlés. »
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