Face à une certaine partie de la presse nationale jeudi dernier, le président Sall de faire l'apologie de la transhumance. Terme qui selon lui n'"est réservée" qu'"au bétail qui quitte des prairies moins fournies vers des prairies fournies". "Nous sommes tous des Sénégalais, nous avons la liberté d'aller et de venir, c'est la Constitution qui le garantie, pourquoi voulez-vous enfermer des acteurs politiques hommes ou femmes dans un cadre qui lorsqu'il n'est plus un cadre d'épanouissement, ils doivent rester là-bas...". Discours qui n'est pas pour plaire au mouvement citoyen "Y'en a marre". Et Fadel Barro ne mâche pas ses mots.
"Ce n'est pas une question de feeling. On ne peut pas simplifier les choses comme cela. Non, si aujourd'hui, on sanctionne un camp, le lendemain, tout ce camp se retrouve au pouvoir. C'est une manière presque de trahir le vote des Sénégalais", lance le coordonnateur qui enfonce le clou: "Cela montre qu'on a aucun respect pour le choix des Sénégalais. A quoi sert la sanction ?".
Pour le "Y'en a marriste" dans les colonnes du "le populaire": "On ne peut pas bénir la transhumance" et que "le Chef de l'Etat essaye de bluffer les gens, de justifier un position indéfendable. La transhumance, il peut la théoriser, c'est son droit mais il ne peut pas nous la vendre comme une valeur".
"Ce n'est pas une question de feeling. On ne peut pas simplifier les choses comme cela. Non, si aujourd'hui, on sanctionne un camp, le lendemain, tout ce camp se retrouve au pouvoir. C'est une manière presque de trahir le vote des Sénégalais", lance le coordonnateur qui enfonce le clou: "Cela montre qu'on a aucun respect pour le choix des Sénégalais. A quoi sert la sanction ?".
Pour le "Y'en a marriste" dans les colonnes du "le populaire": "On ne peut pas bénir la transhumance" et que "le Chef de l'Etat essaye de bluffer les gens, de justifier un position indéfendable. La transhumance, il peut la théoriser, c'est son droit mais il ne peut pas nous la vendre comme une valeur".
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