
« Ce qui est fondamental, c’est de créer les conditions d’un débat populaire large et adopter une nouvelle constitution. Cela permet de fixer les règles du jeu une fois pour toutes. Nous sommes pour la refondation de la République sur la base des conclusions des Assises nationales », souligne le coordonnateur de Yoonu Askan Wi.
Plus loin, il ajoute « le Président a dit qu’il adhère aux Assises qui ont élaboré un projet de Constitution. Et si mes souvenirs sont bons, il est indiqué que le nombre de ministre ne devait pas dépasser 25. On ne peut pas régler les problèmes d’équilibre ethnique, géographique par le biais d’un gouvernement. Le pays ne se réduit pas à un gouvernement ».
Pour lui, « Nous avons l’impression que les Sénégalais ont beaucoup d’attentes vis-à-vis du pouvoir et ils voudraient qu’elles soient prises en compte de façon plus rapide. Le problème au Sénégal, c’est qu’on commence des choses, mais on ne va pas jusqu’au bout ». « Il y a eu des audits qui ont été lancés par le régime de Wade, et le nouveau pouvoir les a poursuivis après l’arrivée de Macky Sall. Il a mis en place de nouveaux instruments pour lutter contre l’enrichissement illicite. Mais, jusqu’à présent, on ne sent pas les résultats en termes de châtiment », martèle Madièye Mbodji.
Plus loin, il ajoute « le Président a dit qu’il adhère aux Assises qui ont élaboré un projet de Constitution. Et si mes souvenirs sont bons, il est indiqué que le nombre de ministre ne devait pas dépasser 25. On ne peut pas régler les problèmes d’équilibre ethnique, géographique par le biais d’un gouvernement. Le pays ne se réduit pas à un gouvernement ».
Pour lui, « Nous avons l’impression que les Sénégalais ont beaucoup d’attentes vis-à-vis du pouvoir et ils voudraient qu’elles soient prises en compte de façon plus rapide. Le problème au Sénégal, c’est qu’on commence des choses, mais on ne va pas jusqu’au bout ». « Il y a eu des audits qui ont été lancés par le régime de Wade, et le nouveau pouvoir les a poursuivis après l’arrivée de Macky Sall. Il a mis en place de nouveaux instruments pour lutter contre l’enrichissement illicite. Mais, jusqu’à présent, on ne sent pas les résultats en termes de châtiment », martèle Madièye Mbodji.
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