« Chaque enfant compte », c’est le slogan de la campagne de l’Unicef, afin de relancer sur les deux prochaines années l’éducation dans les régions de Gao, Kidal, Tombouctou et Mopti. Il faut pour ce vaste programme 37 millions de dollars, mais le Fonds des Nations unies pour l’enfance affirme n’avoir mobilisé pour le moment qu’un tiers de cette somme.
Le programme va cependant être lancé. Ainsi, à partir de ce mois de janvier du matériel d’apprentissage sera mis à la disposition des enseignants, mais surtout des kits individuels scolaires pour les élèves, sans oublier des reconstructions de salles de classe.
Des routes dangereuses
Cette campagne vient à point nommé car environ, une école sur six est actuellement fermée dans les régions nord du Mali et cela pour la troisième année consécutive, déplore l’Unicef. Conséquence : près de 400 000 enfants maliens âgés de 7 à 15 ans ne sont toujours pas scolarisés.
Les établissements ont été endommagés ou sont encore occupés par des groupes armés. Mais si les enfants ne sont toujours pas scolarisés, c’est aussi à cause de l’insécurité. Les routes sont parfois jonchées de mines ou d’autres engins explosifs. Il y a quelques semaines, dans la région de Gao, des écoliers ont ramassé à terre des grenades qu’ils prenaient pour des jouets.
source:rfi.fr
Le programme va cependant être lancé. Ainsi, à partir de ce mois de janvier du matériel d’apprentissage sera mis à la disposition des enseignants, mais surtout des kits individuels scolaires pour les élèves, sans oublier des reconstructions de salles de classe.
Des routes dangereuses
Cette campagne vient à point nommé car environ, une école sur six est actuellement fermée dans les régions nord du Mali et cela pour la troisième année consécutive, déplore l’Unicef. Conséquence : près de 400 000 enfants maliens âgés de 7 à 15 ans ne sont toujours pas scolarisés.
Les établissements ont été endommagés ou sont encore occupés par des groupes armés. Mais si les enfants ne sont toujours pas scolarisés, c’est aussi à cause de l’insécurité. Les routes sont parfois jonchées de mines ou d’autres engins explosifs. Il y a quelques semaines, dans la région de Gao, des écoliers ont ramassé à terre des grenades qu’ils prenaient pour des jouets.
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