A 120 km au nord de Gao, ce dimanche 2 novembre, une position des forces armées maliennes a été attaquée par un engin explosif posé par des individus encore non identifiés, précise le ministère malien de la Défense.
Deux militaires ont été tués, quatre autres blessés. Mais, comme pour pointer du doigt les auteurs de cet acte, le gouvernement malien affirme qu’il s’agit là d’une violation du cessez-le feu signé à Alger par les groupes armés.
Qui viole le cessez-le-feu ?
Au sud de Gao, dans une zone communément appelé le Gourma, les armes ont également parlé. Là, d’après nos information, les troupes régulières maliennes et au moins un des groupes armés de Kidal se sont affrontés. Au moins 20 rebelles ont été arrêtés par les soldats gouvernementaux.
Qui a tiré le premier ? De source officielle, ont affirme que l’armée était en position de légitime défense. Faux répondent les rebelles touaregs, pour qui « Bamako vient de violer le cessez-le feu signé dans la capitale algérienne. »
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