La France demande à l'ONU l'envoi d'une force de maintien de la paix au Mali. REUTERS/Lucas Jackson
La force africaine, la Misma, dont la mise en place a été si laborieuse, a bel et bien été enterrée. Ce sont donc des casques bleus qui seront déployés au Mali. Un contingent auquel pourront s’intégrer, selon l'ambassadeur français à l'ONU, Gérard Araud, les soldats africains déjà sur place :
« La logique, c'est tout simplement, si les pays le veulent, de mettre les contingents de la Misma sous casques bleus. Il y aura peut-être d’autres contingents. Il y a peut-être des contingents qui refuseront. Ce ne sera donc pas une force hybride, mais une force aux casques bleus avec une chaîne de commandement remontant au Conseil de sécurité comme toute force des Nations unies ».
Ce contrôle des troupes directement par l’ONU est jugé militairement plus efficace et beaucoup plus simple à gérer qu’une chaîne de commandement partagé avec l‘Union africaine ou la Cédéao. Les casques bleus seront concentrés dans le nord du Mali.
La présence des Nations unies dans le Sud est encore l’objet de discussions. Certains éléments de la junte à Bamako y sont, dit-on à l’ONU, très réticents.
Source: RFI
« La logique, c'est tout simplement, si les pays le veulent, de mettre les contingents de la Misma sous casques bleus. Il y aura peut-être d’autres contingents. Il y a peut-être des contingents qui refuseront. Ce ne sera donc pas une force hybride, mais une force aux casques bleus avec une chaîne de commandement remontant au Conseil de sécurité comme toute force des Nations unies ».
Ce contrôle des troupes directement par l’ONU est jugé militairement plus efficace et beaucoup plus simple à gérer qu’une chaîne de commandement partagé avec l‘Union africaine ou la Cédéao. Les casques bleus seront concentrés dans le nord du Mali.
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