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Mali: le gouvernement hausse le ton vis-à-vis du MNLA


Rédigé le Jeudi 9 Mai 2013 à 10:53 | Lu 241 fois | 0 commentaire(s)


Au Mali, le cas de la ville de Kidal est au cœur des préoccupations. La ville est toujours sous le contrôle du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Les forces françaises sont également présentes dans la ville, mais pas les soldats maliens. Une situation qui, pour les autorités maliennes, n’a que trop duré. Mercredi 8 mai, le ministre malien des Affaires étrangères s’est d’ailleurs montré très ferme sur les intentions du gouvernement.


Groupe de soldats du MNLA dans la région de Kidal, le 4 février 2013. REUTERS/Cheick Diouara
Groupe de soldats du MNLA dans la région de Kidal, le 4 février 2013. REUTERS/Cheick Diouara

Au-delà de l’impatience des autorités et de l’opinion publique malienne, l’organisation de l’élection présidentielle au mois de juillet rend urgent le règlement de la situation à Kidal.

Alors que les militaires maliens affluent depuis plusieurs semaines dans la ville de Gao et regardent vers Kidal, le ministre malien des Affaires étrangères, Tiéman Coulibaly, assure que le but des autorités n’est pas d’aller au combat, mais qu’elles n’hésiteront pas :

« L’objectif est politique et pourrait, le cas échéant, avoir une composante militaire. J’ai dit ici que l’objectif ultime était la paix. Et nous avons appelé le MNLA à accepter de désarmer. Maintenant, si de guerre lasse, nous n’obtenons pas satisfaction, il faudra recourir à des moyens que nous ne souhaitons pas pour que la situation de Kidal soit une situation normalisée. »

La création à Kidal d’un Haut conseil de l’Azawad, prônant l’intégrité territoriale du Mali et le pacifisme, est plutôt bien accueillie. Mais difficile de savoir quel rôle ce Haut conseil pourrait jouer dans d’éventuelles discussions avec l’État malien. « C’est positif, mais je voudrais simplement dire qu’il est temps d’arrêter tout cela. Ceux de nos compatriotes qui se sont prêtés à cette aventure criminelle doivent savoir qu’il est plus que temps d’arrêter. Ceux qui seront désarmés et qui reconnaîtront le Mali dans ses frontières seront des interlocuteurs pour le gouvernement du Mali », insiste Tiéman Coulibaly.

Interrogés sur le sujet, plusieurs membres du MNLA affirment ne pas être convaincus par la création du Haut conseil de l’Azawad, ni par la perspective de déposer les armes avant de négocier.

Source : Rfi.fr





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