Membre du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar, Mamadou Lamine Diallo fait partie de ceux qui ont parrainé la candidature de Cheikh Diop Dionne, source de remous à l’hémicycle. « Il a estimé qu’il fallait qu’il incarne une ligne de rupture à l’Assemblée nationale, ce que je trouve tout à fait normal et justifié », confie l’économiste qui, dans une interview accordée à nos confrères de « L’observateur », constate « qu’il n’y a pas de rupture et que même plus fondamentalement, les discours tenus par le président de l’Assemblée nationale nous écartent de la rupture ».
Loin d’être tendre avec le président de l’Assemblée nationale, M. Diallo poursuit que « Moustapha Niasse n’est pas pour ce qu’il a signé dans la charte de gouvernance démocratique, à savoir l’Assemblée nationale doit être le lieu d’impulsion de la vie politique de la Nation ». Il fustige par ailleurs que « pendant un an, nous n’avons pas joué ce rôle. Au contraire, nous sommes dans le clientélisme le plus plat. C’est inacceptable et ce n’est pas ce que nous avons promis au peuple sénégalais ».
Le leader de « Tekki » qui réitère que sa compréhension de la rupture va à l’opposée des thèses développées par Niasse, « à savoir le Législatif doit être à la merci de l’Exécutif » précise : « nous soutenons l’action du gouvernement, l’action du président de la République, mais nous ne devons pas être des talibés de Macky Sall ».
Loin d’être tendre avec le président de l’Assemblée nationale, M. Diallo poursuit que « Moustapha Niasse n’est pas pour ce qu’il a signé dans la charte de gouvernance démocratique, à savoir l’Assemblée nationale doit être le lieu d’impulsion de la vie politique de la Nation ». Il fustige par ailleurs que « pendant un an, nous n’avons pas joué ce rôle. Au contraire, nous sommes dans le clientélisme le plus plat. C’est inacceptable et ce n’est pas ce que nous avons promis au peuple sénégalais ».
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