«Il n’y a pas de complot d’Etat, et il ne peut pas y avoir de complot d’Etat ». Ces propos sont de Mame Mbaye Niang qui revenait sur l’affaire Abdoul Mbaye. Ce dernier poursuivi pour bigamie et faux et usage de faux en écritures publiques, avait crié au scandale, dénonçant au passage un complot ourdi contre lui.
Poursuivant, le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne explique : «ce dossier, c’est l’ancien Premier ministre qui l’a déposé chez le juge. Ce sont ses propres problèmes. Mr Abdoul Mbaye, Premier ministre, a déposé chez le juge une demande de divorce. Donc le dossier a été introduit en justice par lui-même. Maintenant si le juge décèle des irrégularités sur les documents qui ont été déposés, je pense que c’est un problème de droit commun »
Et d’ajouter : «Il a pris l’initiative d’aller voir le juge en tant que Premier ministre et de demander le divorce. La dame avec les moyens qu’elle a s’est constituée pour défendre ses intérêts, en quoi est-ce qu’il y a complot ? », se demande-t-il.
Au contraire, Mame Mbaye est d’avis que le leader du parti Alliance pour la citoyenneté et le travail (ACT) a même bénéficié d’un privilège : «Si on est rattrapé par son passé, il faut l’accepter. Mais il n’y a aucun parmi nous qui serait en liberté s’il avait falsifié un registre administratif, moi y compris».
Et le ministre de conclure : «On n’a pas besoin d’ameuter le Sénégal pour un problème de droit commun».
Poursuivant, le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne explique : «ce dossier, c’est l’ancien Premier ministre qui l’a déposé chez le juge. Ce sont ses propres problèmes. Mr Abdoul Mbaye, Premier ministre, a déposé chez le juge une demande de divorce. Donc le dossier a été introduit en justice par lui-même. Maintenant si le juge décèle des irrégularités sur les documents qui ont été déposés, je pense que c’est un problème de droit commun »
Et d’ajouter : «Il a pris l’initiative d’aller voir le juge en tant que Premier ministre et de demander le divorce. La dame avec les moyens qu’elle a s’est constituée pour défendre ses intérêts, en quoi est-ce qu’il y a complot ? », se demande-t-il.
Au contraire, Mame Mbaye est d’avis que le leader du parti Alliance pour la citoyenneté et le travail (ACT) a même bénéficié d’un privilège : «Si on est rattrapé par son passé, il faut l’accepter. Mais il n’y a aucun parmi nous qui serait en liberté s’il avait falsifié un registre administratif, moi y compris».
Et le ministre de conclure : «On n’a pas besoin d’ameuter le Sénégal pour un problème de droit commun».
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