«Les vendeurs de poisson n’osent plus partir à 6 heures du matin. Et même les Imams et les notables n’osent plus partir à la mosquée le matin car, ils ont peur d’être agressés par les jeunes enfants », a réagit une habitante de la localité de Médina Gounass qui s’inquiétait face à la recrudescence des agressions dans cette commune.
Selon elle, ce n’est pas facile d’aller vaquer à ses occupations : «Le fait d’aller au travail et à la mosquée constitue des situations à risque parce que tout simplement, à tout moment, tu peux tomber sur un agresseur».
Cette situation est partagée par une autre affirme sur les ondes de Walf fm que «nos mamans qui sont au niveau du marché au poisson, qui se lèvent à 4 heures du matin ainsi que des vieux qui vont à la mosquée à cette même heure sont parfois victimes d'agressions. Nous sommes inquiets en tant que parents car à Médina Gounass, il y a une insécurité galopante».
Dans cette commune de 34 000 habitants, l’usage de la drogue, la déperdition scolaire, l’insuffisance de l’éclairage publique, entre autres, favorisent cette insécurité galopante au point d’inquiéter les populations qui appellent à l’introspection, à la sensibilisation et à la dénonciation des malfaiteurs.
Selon elle, ce n’est pas facile d’aller vaquer à ses occupations : «Le fait d’aller au travail et à la mosquée constitue des situations à risque parce que tout simplement, à tout moment, tu peux tomber sur un agresseur».
Cette situation est partagée par une autre affirme sur les ondes de Walf fm que «nos mamans qui sont au niveau du marché au poisson, qui se lèvent à 4 heures du matin ainsi que des vieux qui vont à la mosquée à cette même heure sont parfois victimes d'agressions. Nous sommes inquiets en tant que parents car à Médina Gounass, il y a une insécurité galopante».
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