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Mesures sanitaires pour reprise des cours: «Avant le 2 juin, tout le matériel sera en place», assure le ministère de l'Education



Mesures sanitaires pour reprise des cours: «Avant le 2 juin, tout le matériel sera en place», assure le ministère de l'Education
Ne vous faites pas de souci, mesdames et messieurs les enseignants, le ministre de l’Education nationale est sur le terrain. M. Mamadou Tall était en visite dans les zones de Louga, de saint Louis, Kaffrine et Kaolack, ces deux derniers jours ! Il a donné l’assurance que tout le matériel sanitaire et préventif sera disponible dans toutes les écoles avant le 02 juin prochain, jour de la reprise des cours pour les classes d’examens (Cm2, troisièmes et terminales).

C’est du moins ce que confie le chargé de communication du ministère de l’Education nationale. M. Mouhamed Diagne demande aux enseignants de faire un minimum d’efforts par rapport à leur ralliement dans leurs lieux de travail. « Au plus tard demain (Ndlr, aujourd’hui vendredi), tous les éléments annoncés dans le protocole sanitaire de l’école seront mis en place. C’est en train d’être fait d’ailleurs. On dépose le matériel nécessaire au niveau des Inspections d’Académie qui, à leur tour, font le reste du travail en envoyant les dotations au niveau des écoles. Le ministre de l’Education a d’ailleurs fait hier les régions de Louga et de Saint Louis pour ensuite se rendre à Kaolack et Kaffrine aujourd’hui (Ndlr, hier). D’autres camions sont également en route pour déposer les matériels. Il est impossible de déposer tous les enseignants dans leurs lieux de services. Il y a des zones où les bus ne peuvent même pas accéder. Notre mission maintenant, c’est de leur donner des autorisations. Encore que pour beaucoup de régions, la circulation est libre dans une zone à une autre. Par exemple à Fatick, pour un enseignant qui doit aller à Gossas, il n’y a aucune difficulté de ralliement. Les enseignants doivent donc faire un minimum d’efforts. Que ce soit les élèves, les élèves-maîtres ou les enseignants, ils sont convoyés par les moyens de transport mis en place par les services du ministère. Pour le cas des élèves qui peinent à se déplacer, c’est parce qu’ils ne sont pas inscrits sur la plateforme du ministère. Déjà, personnellement, j’ai transporté deux élèves sur Mbour hier », a-t-il assuré dans les colonnes du journal Le Témoin.


Vendredi 29 Mai 2020 - 11:36


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