Bassirou Thiam, le présumé meurtrier du bijoutier Ndongo Guèye tué et abandonné dans son véhicule sur la corniche de Cambérène, passe enfin aux aveux. Il a avoué mardi, devant le juge du Premier cabinet de Pikine-Guédiawaye (banlieue dakaroise), avoir tué son collègue qui était venu lui réclamer ses 6 millions de FCfa.
Agé de 28 ans, Bassirou Thiam a été écroué après ses confessions. Devant le magistrat du Premier cabinet du tribunal de Pikine, il a confirmé dans les détails le film du meurtre tel que retracé par la Sureté urbaine (Su).
A l’en croire, le dimanche 13 février, Ndongo Guèye était venu lui réclamer ses 6 millions de F Cfa. Il s’en est suivi, selon lui, une altercation lors de laquelle il l’a aspergé avec une pompe à gaz avant de l’étrangler à mort.
Comme pour nier la « préméditation » évoquée par les enquêteurs, le mis en cause a prétendu que c’est Ndongo Guèye qui l’a injurié avant de l’attaquer.
Il a reconnu avoir, après le crime, jeté le téléphone de la victime à la plage de Malibu où son téléphone bornait le même jour vers 13 heures avant de se rendre au marché Thiaroye pour acheter des sacs en plastique.
Il ajoute, rapporte Libération, qu’il a abandonné le corps sans vie à Cambérène après avoir heurté un particulier. S’agissant des blessures relevées sur son poignet droit, la Su était formelle : elles s’expliquaient incontestablement par le fait qu’au cours de l’altercation, le mis en cause avait donné un violent coup de poing Ndongo Guèye lui enlevant au passage une dent.
Interpellé, Bassirou Thiam avait accusé ses « djinns » avec qui, dit-il, il s’était battu jusqu’à tomber dans les toilettes. Une déclaration qui n’a pas convaincu les enquêteurs.
Après ses aveux, il a été placé sous mandat de dépôt pour « assassinat avec actes de torture et de barbarie, recel de cadavre et vol ».
Agé de 28 ans, Bassirou Thiam a été écroué après ses confessions. Devant le magistrat du Premier cabinet du tribunal de Pikine, il a confirmé dans les détails le film du meurtre tel que retracé par la Sureté urbaine (Su).
A l’en croire, le dimanche 13 février, Ndongo Guèye était venu lui réclamer ses 6 millions de F Cfa. Il s’en est suivi, selon lui, une altercation lors de laquelle il l’a aspergé avec une pompe à gaz avant de l’étrangler à mort.
Comme pour nier la « préméditation » évoquée par les enquêteurs, le mis en cause a prétendu que c’est Ndongo Guèye qui l’a injurié avant de l’attaquer.
Il a reconnu avoir, après le crime, jeté le téléphone de la victime à la plage de Malibu où son téléphone bornait le même jour vers 13 heures avant de se rendre au marché Thiaroye pour acheter des sacs en plastique.
Il ajoute, rapporte Libération, qu’il a abandonné le corps sans vie à Cambérène après avoir heurté un particulier. S’agissant des blessures relevées sur son poignet droit, la Su était formelle : elles s’expliquaient incontestablement par le fait qu’au cours de l’altercation, le mis en cause avait donné un violent coup de poing Ndongo Guèye lui enlevant au passage une dent.
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