«La traite des noirs qui existe en Libye m’a fait penser à la chanson d’Ismaïla Lo qui a demandé : A quand la fin des souffrances de l’homme noir ? Parce que justement les noirs sont fatigués». Dixit Monseigneur Benjamin Ndiaye qui s’exprimait à propos des sévices endurés par les noirs-africains vivant en Libye et qui font souvent l’objet d’une vente aux enchères.
Mais, indique l’Archevêque de Dakar la responsabilité de chacun est engagée dans cette malencontreuse situation qui porte fortement atteinte à la dignité humaine. Car, a-t-il martelé depuis Mbour où il assistait à l’ordination de cinq prêtres et diacres, «on n’a pas le droit de laisser cette émigration continuer alors que nous savons le calvaire que vivent les migrants».
Et aussi bien les chefs religieux que coutumiers, les chefs de famille, les gouvernants ainsi que tous les citoyens sont appelés à jouer leur partition pour décourager les candidats au voyage par le désert ou par la mer.
S’adressant aux candidats à la migration clandestine dont la majorité est composée de jeunes, le chef de l’Eglise catholique du Sénégal les a appelés, dans des propos rapportés par «L’As» à rester au Sénégal. «C’est vrai que nous sommes pauvres, mais vaut mieux rester pauvre dans son pays que d’aller subir des humiliations en allant à l’aventure», a-t-il fait savoir.
Avant d’ajouter : «Aujourd’hui, il y a des gens qui sont des épaves en Europe. Ils veulent revenir au bercail mais n’ont pas les moyens pour rentrer».
Mais, indique l’Archevêque de Dakar la responsabilité de chacun est engagée dans cette malencontreuse situation qui porte fortement atteinte à la dignité humaine. Car, a-t-il martelé depuis Mbour où il assistait à l’ordination de cinq prêtres et diacres, «on n’a pas le droit de laisser cette émigration continuer alors que nous savons le calvaire que vivent les migrants».
Et aussi bien les chefs religieux que coutumiers, les chefs de famille, les gouvernants ainsi que tous les citoyens sont appelés à jouer leur partition pour décourager les candidats au voyage par le désert ou par la mer.
S’adressant aux candidats à la migration clandestine dont la majorité est composée de jeunes, le chef de l’Eglise catholique du Sénégal les a appelés, dans des propos rapportés par «L’As» à rester au Sénégal. «C’est vrai que nous sommes pauvres, mais vaut mieux rester pauvre dans son pays que d’aller subir des humiliations en allant à l’aventure», a-t-il fait savoir.
Avant d’ajouter : «Aujourd’hui, il y a des gens qui sont des épaves en Europe. Ils veulent revenir au bercail mais n’ont pas les moyens pour rentrer».
Autres articles
-
Succès de la deuxième greffe de moelle osseuse à Dalal Jamm : le ministère de la Santé salue les avancées médicales du Sénégal
-
JOJ 2026 : le ministre du Tourisme échange avec les hôteliers de la Petite Côte sur les défis de l’accueil
-
Secteur postal : plus de 500 milliards FCFA générés par l’informel, selon l’ARTP
-
Goudomp : un hôpital militaire de campagne déployé pour des soins gratuits aux populations
-
1xBet Sénégal 2025 rétrospective : une année de confiance, de reconnaissance et de jeu responsable




Succès de la deuxième greffe de moelle osseuse à Dalal Jamm : le ministère de la Santé salue les avancées médicales du Sénégal


