L'Etat du Sénégal poursuit la modernisation du parc automobile. Après le Bus Rapid Transit (BRT) 100% électrique, l'Etat s'est engagé à mettre en circulation des taxis électriques. Ce processus de modernisation l'Etat entend l'étendre jusque dans certaines capitales régionales. Et pour suivre les mêmes pas, les acteurs du transport se mobilisent pour voir les voies et moyens à mettre en place.
Kaolack, capitale du Bassin abrite depuis ce matin une rencontre sur le projet de modernisation du parc automobile du Sénégal. D'après les acteurs du transport, pour la phase test 400 véhicules seront mises en circulation. Le projet vise dans un cadre global a renouvelé 5000 véhicules. C'est pour faire face à la concurrence de l'Etat et des privés.
Donc, la capitale du Saloum était le point de convergence de tous les acteurs du transport sénégalais. Le transport en commun s'est vu taillé la part belle de cette concertation. Selon le conseiller spécial du président du regroupement national des transporteurs et chauffeurs du Sénégal, Elhadji Abdou Karim Seck le but de ce conclave est de remplacer tout ce qui est matériel roulant. "Nous voulons remplacer tout ce qui est matériel roulant, les Sept places, les minicars, les bus etc, en mettant en place des véhicules neufs de sorte d'avoir un matériel performant nous permettant de faire face à la concurrence. Il y aura plusieurs vagues, il peut y avoir 300 ou 400 véhicules dans un premier temps", a déclaré monsieur Seck.
Les acteurs du transport en commun disent être conscients de la modernisation du secteur. Pour leur survie, ils sont dans l'obligation de suivre le processus de modernisation déjà amorcé par des sociétés comme Dakar Dem Dikk. "Nous ne venons pas en concurrence à Dakar Dem Dikk. Nous venons en apport à ces opérateurs privés et il faudra que l'Etat nous soutienne parce que c'est nous qui détenons plus de 95% de la part du marché en international et en interurbain", a conclu Elhadji Abdou Karim Seck.
Kaolack, capitale du Bassin abrite depuis ce matin une rencontre sur le projet de modernisation du parc automobile du Sénégal. D'après les acteurs du transport, pour la phase test 400 véhicules seront mises en circulation. Le projet vise dans un cadre global a renouvelé 5000 véhicules. C'est pour faire face à la concurrence de l'Etat et des privés.
Donc, la capitale du Saloum était le point de convergence de tous les acteurs du transport sénégalais. Le transport en commun s'est vu taillé la part belle de cette concertation. Selon le conseiller spécial du président du regroupement national des transporteurs et chauffeurs du Sénégal, Elhadji Abdou Karim Seck le but de ce conclave est de remplacer tout ce qui est matériel roulant. "Nous voulons remplacer tout ce qui est matériel roulant, les Sept places, les minicars, les bus etc, en mettant en place des véhicules neufs de sorte d'avoir un matériel performant nous permettant de faire face à la concurrence. Il y aura plusieurs vagues, il peut y avoir 300 ou 400 véhicules dans un premier temps", a déclaré monsieur Seck.
Les acteurs du transport en commun disent être conscients de la modernisation du secteur. Pour leur survie, ils sont dans l'obligation de suivre le processus de modernisation déjà amorcé par des sociétés comme Dakar Dem Dikk. "Nous ne venons pas en concurrence à Dakar Dem Dikk. Nous venons en apport à ces opérateurs privés et il faudra que l'Etat nous soutienne parce que c'est nous qui détenons plus de 95% de la part du marché en international et en interurbain", a conclu Elhadji Abdou Karim Seck.
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