Mohamed Gallaye Ndiaye, théologien belgo-sénégalais et Imam principal francophone de la Grande Mosquée de Bruxelles, a lancé un appel pour l'intégration des enseignements de Cheikh Ahmadou Bamba, fondateur du mouridisme, dans les programmes scolaires du Sénégal.
« Je pense que jusqu'à aujourd'hui, nous sommes encore des complexés. Pourquoi ne peut-on pas enseigner notre héritage, l’inscrire dans les programmes scolaires pour nos enfants ? » s'est-t-il interrogé, soulignant l’importance de préserver et transmettre les valeurs spirituelles, intellectuelles et culturelles léguées par Khadim Rassoul.
Pour l’imam Ndiaye, la valorisation de cet héritage n’est pas seulement une affaire de foi, mais aussi de construction identitaire : « Tu ne peux pas te vendre ailleurs alors que tu n’existes même pas ». L'invité de l’émission Grand Jury du dimanche sur RFM, de ce 10 août 2025, en ligne depuis Bruxelles, invite à un travail collectif et structuré : « Nous devons cerner cet héritage. Nous devons l’étudier et nous l’approprier comme il le faut intellectuellement, culturellement, artistiquement, sur tous les plans ».
Cette sortie intervient à quelques jours de la célébration du Grand Magal de Touba, prévue ce mercredi 13 août, un rendez-vous religieux et culturel majeur au Sénégal et dans la diaspora. Pour l’imam, ce moment de rassemblement devrait aussi être l’occasion de réfléchir aux moyens concrets de faire entrer l’héritage bambaïen dans l’éducation nationale, afin que les jeunes générations puissent s’y former et s’en inspirer.
« Je pense que jusqu'à aujourd'hui, nous sommes encore des complexés. Pourquoi ne peut-on pas enseigner notre héritage, l’inscrire dans les programmes scolaires pour nos enfants ? » s'est-t-il interrogé, soulignant l’importance de préserver et transmettre les valeurs spirituelles, intellectuelles et culturelles léguées par Khadim Rassoul.
Pour l’imam Ndiaye, la valorisation de cet héritage n’est pas seulement une affaire de foi, mais aussi de construction identitaire : « Tu ne peux pas te vendre ailleurs alors que tu n’existes même pas ». L'invité de l’émission Grand Jury du dimanche sur RFM, de ce 10 août 2025, en ligne depuis Bruxelles, invite à un travail collectif et structuré : « Nous devons cerner cet héritage. Nous devons l’étudier et nous l’approprier comme il le faut intellectuellement, culturellement, artistiquement, sur tous les plans ».
Cette sortie intervient à quelques jours de la célébration du Grand Magal de Touba, prévue ce mercredi 13 août, un rendez-vous religieux et culturel majeur au Sénégal et dans la diaspora. Pour l’imam, ce moment de rassemblement devrait aussi être l’occasion de réfléchir aux moyens concrets de faire entrer l’héritage bambaïen dans l’éducation nationale, afin que les jeunes générations puissent s’y former et s’en inspirer.
Autres articles
-
Bras de fer Médias-État : l'Appel envisage d’ester en justice pour réparation financière
-
Tivaouane : Seydi Gassama invite "l’Etat à arrêter les démolitions d’habitations" pouvant créer 500 sans abris
-
"Des milliards perdus, des promesses non tenues, incompétence", Ameth Diallo liste les gaffes de..
-
Saint-Louis : 96 migrants secourus au large par la Marine nationale
-
Kolda : 50 enfants bénéficient d’un camp de chirurgie pédiatrique au centre hospitalier régional




Bras de fer Médias-État : l'Appel envisage d’ester en justice pour réparation financière


