La mort, ce lundi, du détenu Kandé Traoré qui devait sortit dans une année après avoir purgé 9 des 10 ans de sa peine révulse l’Association pour le soutien et la réinsertion des détenus (Asred). En effet, Ibrahima Sall et Cie pointent du doigt les autorités pénitentiaires, qui auraient fait preuve d’une négligence, d’autant plus que le détenu est mort de la Tuberculose au pavillon spéciale de l’hôpital Aristide Le Dantec.
Dans son communiqué, l’Asred «dénonce fermement la négligence coupable des autorités pénitentiaires qui a conduit à cette regrettable mort, comme c’est souvent le cas avec les nombreux décès enregistrés dans les établissements du Sénégal».
Dans la même veine, Ibrahima Sall et Cie fustigent «le manque de communication entre l’Administration pénitentiaire et les parents des détenus», d’autant plus que «la famille de Kandé Traoré a été informée du décès par un ancien détenu» Et encore, «sa femme n’était pas au courant de l’hospitalisation de son mari durant tout ce temps qu’il a été transféré du Camp pénal de Liberté au Pavillon spécial. La même situation avait prévalu lors de la mutinerie de Rebeuss du 20 septembre 2016 qui s’est soldé par la mort du détenu Ibrahima Mbow alias Ibrahima Fall».
Ces agissements ne sont pas nouveaux dans les établissements pénitentiaires, affirment-ils, leur faisant redouter que d’autres pensionnaires de la maison du silence ne soient victimes de cette même négligence dénoncée. Car, relève le communiqué, «c’’est le cas, par exemple, pour Tamsir Diouf qui souffre d’une maladie du cœur. Son médecin exige son évacuation urgente à l’étranger, pour lui sauver la vie. Mais cette alerte du sachant n’a pas été suivie d’effets, et jusqu’à ce jour».
Dans son communiqué, l’Asred «dénonce fermement la négligence coupable des autorités pénitentiaires qui a conduit à cette regrettable mort, comme c’est souvent le cas avec les nombreux décès enregistrés dans les établissements du Sénégal».
Dans la même veine, Ibrahima Sall et Cie fustigent «le manque de communication entre l’Administration pénitentiaire et les parents des détenus», d’autant plus que «la famille de Kandé Traoré a été informée du décès par un ancien détenu» Et encore, «sa femme n’était pas au courant de l’hospitalisation de son mari durant tout ce temps qu’il a été transféré du Camp pénal de Liberté au Pavillon spécial. La même situation avait prévalu lors de la mutinerie de Rebeuss du 20 septembre 2016 qui s’est soldé par la mort du détenu Ibrahima Mbow alias Ibrahima Fall».
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