"Les données ne sont pas globales elles sont partielles mais on peut affirmer que 25% des femmes qui meurent en couches présentent des hémorragies". L’affirmation est du Professeur Saliou Diop, directeur du Centre nationale de transfusion sanguine (CNTS) de Dakar.
Profitant de la célébration de la journée internationale du don de sang, le Professeur Diop est d’avis que si « si le centre disposait de plus de poches de sang cela permettrez de réduire ce chiffre de 25% de femmes qui meurent en couches ».
Des données qui ne sont malheureusement pas globales, mais de l’avis du directeur du centre nationale de transfusion sanguine le ministère de la Santé a fait de cette question une priorité en réduisant le taux de mortalité maternelle, un objectif qui passe par une plus grande disponibilité de poches de sang dans les hôpitaux.
Profitant de la célébration de la journée internationale du don de sang, le Professeur Diop est d’avis que si « si le centre disposait de plus de poches de sang cela permettrez de réduire ce chiffre de 25% de femmes qui meurent en couches ».
Des données qui ne sont malheureusement pas globales, mais de l’avis du directeur du centre nationale de transfusion sanguine le ministère de la Santé a fait de cette question une priorité en réduisant le taux de mortalité maternelle, un objectif qui passe par une plus grande disponibilité de poches de sang dans les hôpitaux.
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