Ndioro Ndiaye, femme politique sénégalaise, plusieurs ministre, a plaidé ce vendredi 22 novembre 2019 à Dakar, pour l'implication des femmes migrantes dans les projets de développement, lors d'une rencontre organisée par la Wallonie Bruxelles et ses partenaires.
"Pour que les femmes puissent être impliquées et qu'on puisse le voir, il faut dès le départ leur présence durant la négociation des accords de coopération. Qu'on tienne compte de leur présence et de leurs intérêts, car les femmes ont leurs spécificités et des niveaux d'éducation différents", fait-elle savoir.
Elle a invité les gouvernants et les partenaires et les structures d'accueil à être attentifs à cela. Par ailleurs, cet ancien ministre a rappelé que l'immédiateté attendue dans ce type de processus n'est possible. "C'est un processus de développement à long terme. Vous pouvez investir et réussir. Parfois vous échouer, on doit vous encourager pour recommencer. Il faut tenir en compte ce jeu là", soutient-elle.
Revenant sur la signature des accords, cette ancienne directrice adjointe de l'OIM a tenu à éclairer un point flou. " J'entends souvent les jeunes qui rentrent de l'immigration dire qu'ils appris que l'État du Sénégal et le pays d'où ils viennent, ont signé un accord de tel montant. Mais ce n'est l'argent qu'on doit répartir entre eux. Il faut une communication la-dessus, car c'est une erreur ".
Elle s'exprimait au musée de la femme Henriette Bathily, où une conférence-débat sur « Plurielles. Femmes de la diaspora africaine : modèles de réussite, défis et nouvelles opportunités du Sénégal », a été organisée par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Dakar et ses partenaires.
"Pour que les femmes puissent être impliquées et qu'on puisse le voir, il faut dès le départ leur présence durant la négociation des accords de coopération. Qu'on tienne compte de leur présence et de leurs intérêts, car les femmes ont leurs spécificités et des niveaux d'éducation différents", fait-elle savoir.
Elle a invité les gouvernants et les partenaires et les structures d'accueil à être attentifs à cela. Par ailleurs, cet ancien ministre a rappelé que l'immédiateté attendue dans ce type de processus n'est possible. "C'est un processus de développement à long terme. Vous pouvez investir et réussir. Parfois vous échouer, on doit vous encourager pour recommencer. Il faut tenir en compte ce jeu là", soutient-elle.
Revenant sur la signature des accords, cette ancienne directrice adjointe de l'OIM a tenu à éclairer un point flou. " J'entends souvent les jeunes qui rentrent de l'immigration dire qu'ils appris que l'État du Sénégal et le pays d'où ils viennent, ont signé un accord de tel montant. Mais ce n'est l'argent qu'on doit répartir entre eux. Il faut une communication la-dessus, car c'est une erreur ".
Elle s'exprimait au musée de la femme Henriette Bathily, où une conférence-débat sur « Plurielles. Femmes de la diaspora africaine : modèles de réussite, défis et nouvelles opportunités du Sénégal », a été organisée par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Dakar et ses partenaires.
Autres articles
-
Kédougou : les FDS renforcent les opérations de sécurité contre l'orpaillage illégal
-
Les douanes gambiennes renoncent à la hausse des droits prélevés sur le ciment sénégalais
-
Tribunal de Thiès : Il ligote son épouse avant d'introduire un tuyau dans ses parties intimes
-
Plus de 10.000 tonnes d’oignon invendues dans les Zone des Niayes
-
Retard de salaires, conditions de travail, manque de transparence dans la gestion des affaires de l’entreprise : les travailleurs du groupe de presse Emedia broient du noir