Le président de la République du Nigéria, Umaru Yar'Adua
L'élection s'est déroulée au mois d'avril 2007 et des observateurs locaux et étrangers ont eux aussi fait état de fraudes.
Le jugement, largement attendu, met fin à plus d'un an et demi de procédures légales qui ont empêché Yar'Adua de remplir totalement ses fonctions et ont déconcerté les investisseurs étrangers.
Maintenant que le jugement a été rendu en sa faveur, Yar'Adua va pouvoir se concentrer sur ses promesses électorales telles que l'amélioration du système de distribution d'électricité du pays et le renforcement de la sécurité dans la région pétrolifère du delta du Niger.
Les détracteurs de Yar'Adua lui reprochent les retards enregistrés dans la présentation du budget 2009, la formation d'un nouveau gouvernement et la restructuration du secteur de l'énergie.
Le président doit aussi faire face à une économie peu affectée par la crise financière mondiale mais confrontée à un ralentissement de la croissance dû à l'effondrement des cours du pétrole. Quelque 80% des revenus du gouvernement proviennent du secteur pétrolier.
Le tribunal a jugé que l'ancien dirigeant militaire Muhammadu Buhari et l'ancien vice-président Atiku Abubakar, les deux principaux adversaires de Yar'Adua à l'élection présidentielle, n'avaient pas fourni des preuves suffisantes de fraudes à ce point étendues qu'elles entachent la crédibilité du scrutin.
L'élection s'est soldée par la première passation de pouvoir d'un dirigeant civil à un autre au Nigeria, pays le plus peuplé et premier producteur de pétrole d'Afrique.
Le jugement, largement attendu, met fin à plus d'un an et demi de procédures légales qui ont empêché Yar'Adua de remplir totalement ses fonctions et ont déconcerté les investisseurs étrangers.
Maintenant que le jugement a été rendu en sa faveur, Yar'Adua va pouvoir se concentrer sur ses promesses électorales telles que l'amélioration du système de distribution d'électricité du pays et le renforcement de la sécurité dans la région pétrolifère du delta du Niger.
Les détracteurs de Yar'Adua lui reprochent les retards enregistrés dans la présentation du budget 2009, la formation d'un nouveau gouvernement et la restructuration du secteur de l'énergie.
Le président doit aussi faire face à une économie peu affectée par la crise financière mondiale mais confrontée à un ralentissement de la croissance dû à l'effondrement des cours du pétrole. Quelque 80% des revenus du gouvernement proviennent du secteur pétrolier.
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