Pour un pays qui se respecte et surtout qui respecte ses institutions publiques, ses citoyens. Pour un pays qui tient à la vie et à la sécurité de ses étudiants, Birima serait actuellement derrière les barreaux, en attendant de savoir le sort qui lui serait réservé, après la diffusion sur la toile de son discours scandaleux tenu dans l'enceinte du campus de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Mais non, nous sommes dans le Sénégal dirigé par Macky Sall. Un homme a le droit de se tenir debout dans une université publique et menacer ouvertement d'ôter la vie à des étudiants, qu'il considère comme des "fils de ***". Et après continuer d'occuper ses fonctions au sein de la direction du Centre régional des oeuvres universitaires sociales (Crous) comme si de rien n'était. Dire que c'est dans ce temple du savoir que des gendarmes ont abattu un étudiant le 15 mai dernier.
Mais non, nous sommes dans le Sénégal dirigé par Macky Sall. Un homme a le droit de se tenir debout dans une université publique et menacer ouvertement d'ôter la vie à des étudiants, qu'il considère comme des "fils de ***". Et après continuer d'occuper ses fonctions au sein de la direction du Centre régional des oeuvres universitaires sociales (Crous) comme si de rien n'était. Dire que c'est dans ce temple du savoir que des gendarmes ont abattu un étudiant le 15 mai dernier.
La rédaction de PressAfrik se propose de mettre à jour cet article tant que monsieur Birima Ndiaye ne sera pas relevé de ses fonction au Crous et poursuivi pour apologie du crime et injures publiques.
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