Selon les sources du journal ''Les Echos'', depuis le retour de ces populations accompagnées par l'armée qui a ratissé pendant des jours la zone pour repousser les bandes armées de l'autre côté de la frontière, ces dernières seraient dans tous leurs états.
Elles sont revenues pour sommer les populations de quitter les lieux, sans quoi elles subiront les conséquences. Une menace prise très au sérieux par ces populations qui ont informé l'armée et cette dernière n'a pas attendu longtemps pour reprendre le l'écrasement des bases identifiées.
Le directeur des Relations publique de l'armée (Dirpa), joint par téléphone par nos confrères, précise que la mission de l'armée c'est de sécuriser la zone. Mais aussi de « chasser, de traquer tout élément armé présent dans la zone. Afin de permettre à la population de vivre normalement et qu'elle retrouve ses terres... On ira trouver les bandes armées où qu'elles soient sur le territoire régional. Subséquemment, de nettoyer tous les champs de chanvre indien, lutter contre les trafics. Ces bandes mènent beaucoup de trafics dans cette zone avec l'exploitation de chanvre indien et surtout la coupe de bois qui favorise la déforestation » nous informe le colonel Mactar Diop.
Cela montre qu'il faut sécuriser la zone pour accompagner le retour des populations de Bissine et environ. Cette zone devenait «insécure», conclut le colonel sans trop entrer dans les détails de l'opération. Toujours selon les sources, l'armée est déterminée à aller jusqu'au bout de sa logique : anéantir toutes les troupes armées ou bandes armées présentes dans le Balantacounda. Mais aussi de lutter contre les vols de bétails des villageois.
Elles sont revenues pour sommer les populations de quitter les lieux, sans quoi elles subiront les conséquences. Une menace prise très au sérieux par ces populations qui ont informé l'armée et cette dernière n'a pas attendu longtemps pour reprendre le l'écrasement des bases identifiées.
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