« Nous avons démarré par le Lycée Kennedy, le Lycée Maurice de Lafosse, les écoles Amadou Lamine Diène et Aly Codou Ndoye où les abords étaient occupés d’une manière très anarchique. C’est ainsi qu’en relation avec les collectivités locales, nous avons eu à remettre des sommations pour que les populations qui occupent illégalement ces voies puissent libérer ces axes. Forts de cela, nous avons eu à désencombrer l’ensemble des alentours de ces établissements », lance Djiby Diallo, le Sous-préfet de Dakar-Plateau qui a supervisé la vaste opération de déguerpissements aux abords desdits établissements.
Pis, pour le maire de Colobane – Fass - Gueule Tapée, « il y a un laisser-aller, l’environnement est agressé et cela se ressent sur les études des enfants ». Ousmane Ndoye invite dès lors « les populations (à) s’approprier ces déguerpissements, (à) y participer et (à) gérer eux-mêmes les espaces libérés parce que c’est de leur cadre de vie qu’il s’agit ».
Dans ce sillage, l’édile annonce la mise en place par sa mairie d’ « une brigade de surveillance pour mettre de l’ordre parce qu’il n’est plus question que les choses redeviennent comme avant ».
Dans tous les cas, les opérations vont se poursuivre dans tout Dakar. Et, la brigade de surveillance mise en place compte travailler en synergie avec la police et la gendarmerie.
Les lavandières, propriétaires des cantines et de restaurants, mécaniciens et autres occupants des lieux n’ont plus que leurs yeux pour pleurer car ne sachant pas, selon leurs propres termes, où aller.
Pis, pour le maire de Colobane – Fass - Gueule Tapée, « il y a un laisser-aller, l’environnement est agressé et cela se ressent sur les études des enfants ». Ousmane Ndoye invite dès lors « les populations (à) s’approprier ces déguerpissements, (à) y participer et (à) gérer eux-mêmes les espaces libérés parce que c’est de leur cadre de vie qu’il s’agit ».
Dans ce sillage, l’édile annonce la mise en place par sa mairie d’ « une brigade de surveillance pour mettre de l’ordre parce qu’il n’est plus question que les choses redeviennent comme avant ».
Dans tous les cas, les opérations vont se poursuivre dans tout Dakar. Et, la brigade de surveillance mise en place compte travailler en synergie avec la police et la gendarmerie.
Les lavandières, propriétaires des cantines et de restaurants, mécaniciens et autres occupants des lieux n’ont plus que leurs yeux pour pleurer car ne sachant pas, selon leurs propres termes, où aller.
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