«Pour l’organisation du Baccalauréat, les Professeurs de l’Enseignement supérieur participent aux examens en qualité de présidents de Jury. Ils ont l’expérience des jurys et aujourd’hui, j’ai l’impression que le gouvernement veut faire recours à d’autres camarades qui forcément n’avaient pas l’expérience des examens du bac. Et, cela ne peut que porter préjudice à cet examen-là et c’est la raison pour laquelle, je pense que tous les appels pressants doivent être faits pour que le gouvernement revienne à de meilleurs sentiments, pour que le gouvernement comprenne que ces travailleurs-là qui sont les professeurs du Supérieur méritent tous les égards du pays», dixit Saourou Sène.
Le Secrétaire général du SAEMS qui exprime ainsi sa «solidarité», soutient «que si le SAES est amené à boycotter le bac ou à décréter un mot d’ordre, c’est parce que le SAES est dans ses droits».
Sur un autre volet, l’enseignant maintient les fuites aux anticipés de Philosophie. «Nombres d’élèves étaient en possession du sujet n°1 des épreuves anticipées de Philosophie, l’avaient partagé par SMS ou via WhatsApp avec des amis. Certains d’entre eux l’avaient envoyé à leurs professeurs ou étaient partis chez eux pour qu’ils leur expliquent ou traitent le sujet», accuse-t-il.
«Entre autres messages reçus par les collègues, il faudra noter que le mardi 6 juin à 21h03, des collègues ont reçu un message également le 7 juin à 06h21», embraie Abdoulaye Ndoye du CUSEMS.
Ils exigent des autorités «qu’une enquête soit diligentée afin de situer les responsabilités, d’identifier les coupables et de les punir sévèrement. Que l’épreuve de Philosophie des Séries L soit reprise pour lever toute suspicion». Tous les professeurs de Philosophie sont invités «de cesser toute collaboration avec l’office du bac jusqu’à ce que des gages soient donnés».
Le Secrétaire général du SAEMS qui exprime ainsi sa «solidarité», soutient «que si le SAES est amené à boycotter le bac ou à décréter un mot d’ordre, c’est parce que le SAES est dans ses droits».
Sur un autre volet, l’enseignant maintient les fuites aux anticipés de Philosophie. «Nombres d’élèves étaient en possession du sujet n°1 des épreuves anticipées de Philosophie, l’avaient partagé par SMS ou via WhatsApp avec des amis. Certains d’entre eux l’avaient envoyé à leurs professeurs ou étaient partis chez eux pour qu’ils leur expliquent ou traitent le sujet», accuse-t-il.
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