Le membre du mouvement « Y’en a marre » pas au bout de ses peines. Pour outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions et troubles à l’ordre, délits pour lesquels, le rappeur a été alpagué jeudi dernier puis placé sous mandat de dépôt à la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Rebeuss, Malal Talla risque six (6) mois de prison. C’est la sentence requis par le Procureur de la République, ce matin lors du procès. Après le face-à-face avec le Procureur de la République qui l’a placé sous mandat de dépôt vendredi, pour outrage à agents dans l’exercice de ses fonctions et troubles à l’ordre public, Fou Malade a été jugé ce lundi matin au Tribunal.
Ceci, suite à sa fameuse sortie contre les policiers lors de la journée nationale de lutte contre la drogue présidée par le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo et la Directrice Générale de la Police Nationale (DGPN), Anna Sémou Faye. Devant ces derniers, le rappeur de déclarer que dans «les quartiers comme Yeumbeul, Guinaw Rail, Thiaroye, les populations assistent à des scènes de rackets. On ne sait pas si ce sont les policiers ou des gens qui se font passer pour des policiers. L’Etat doit lutter contre cela». Le dossier est renvoyé en délibéré demain par le Tribunal des Flagrants délits. Le Procureur de la République, lui, a déjà annoncé la couleur.
Il a requis six (6) mois de prison contre le « Y’en a marriste » pour « faits graves » ayant « porté un coup à la dignité des policiers ». Ceci, malgré les excuses du poursuivi qui dit avoir juste voulu attirer l’attention de l’autorité sur le phénomène de la drogue. La demande de liberté requise par les avocats de Malal Talla, Me Mame Adama Guèye et Cie a été aussi rejetée. Le rappeur reste à Rebeuss donc 24 heures de plus avant d’être définitivement fixé sur son sort demain mardi.
Affaire à suivre.
Ceci, suite à sa fameuse sortie contre les policiers lors de la journée nationale de lutte contre la drogue présidée par le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo et la Directrice Générale de la Police Nationale (DGPN), Anna Sémou Faye. Devant ces derniers, le rappeur de déclarer que dans «les quartiers comme Yeumbeul, Guinaw Rail, Thiaroye, les populations assistent à des scènes de rackets. On ne sait pas si ce sont les policiers ou des gens qui se font passer pour des policiers. L’Etat doit lutter contre cela». Le dossier est renvoyé en délibéré demain par le Tribunal des Flagrants délits. Le Procureur de la République, lui, a déjà annoncé la couleur.
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