Le Conseil des ministres de ce mercredi a été le lieu pour le chef de l’Etat Macky Sall, de réitérer son engagement en faveur de la paix en Casamance. Et pour ce faire, il a une nouvelle fois tendu la main au Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), sans pour autant le nommer comme il l’avait fait le 31 décembre dernier lors de son discours à la Nation.
«Le Chef de l’Etat réaffirme son option fondamentale de consolider, par le dialogue inclusif avec l’ensemble des acteurs et le développement économique participatif, la dynamique consensuelle de paix entretenue dans la région naturelle de Casamance depuis son avènement à la magistrature suprême en avril 2012», relève le document.
Reste maintenant à savoir comment le mouvement séparatiste va accueillir ce message du Président Macky Sall, surtout avec les bombardements de la zone où est censée se trouver la bande qui a exécuté froidement 15 personnes dans la forêt de Bofa Bayote le 6 janvier dernier.
«Le Chef de l’Etat réaffirme son option fondamentale de consolider, par le dialogue inclusif avec l’ensemble des acteurs et le développement économique participatif, la dynamique consensuelle de paix entretenue dans la région naturelle de Casamance depuis son avènement à la magistrature suprême en avril 2012», relève le document.
Reste maintenant à savoir comment le mouvement séparatiste va accueillir ce message du Président Macky Sall, surtout avec les bombardements de la zone où est censée se trouver la bande qui a exécuté froidement 15 personnes dans la forêt de Bofa Bayote le 6 janvier dernier.
Autres articles
-
Cherté de la vie et lutte contre le chômage des jeunes : le secteur privé s’engage à soutenir le Président Diomaye Faye
-
Baisse du coût de la vie : le Président Diomaye en "aparté" avec le secteur privé ce mardi
-
Corruption dans la délivrance des actes de naissance : le président du tribunal de Mbacké met en garde les agents de l’état civil
-
Guédiawaye : Des chauffeurs de taxi clandos observent une grève illimitée
-
Université de Ziguinchor : le SAES contre une prolongation du mandat du recteur et exige le paiement sans délais des heures complémentaires