Des organes de suivi et d’évaluation du Pacte pour la stabilité sociale et l’émergence économique ont été officiellement installés ce mardi. Le gouvernement veut ainsi consolider la paix sociale à travers le dialogue. Le conseil interministériel présidé par le Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne a convié à huit clos certaines centrales syndicales pour évaluer la mise en œuvre de ce pacte.
Le porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye se réjouit, à l’issue de la réunion : «La stabilité sociale doit résulter de la qualité d’un dialogue social. A l’issue de la rencontre, on peut retenir que dans ce pays, nous pouvons nous féliciter, nous réjouir d’avoir des mécanismes du dialogue social qui fonctionnent très bien».
Le secrétaire général de la Fédération Générale des Travailleurs du Sénégal (FGTS) qui constate que plusieurs centrales syndicales n’ont pas été associées à la réunion. «Quand il a fallu signer le pacte, on nous a convié tous et quand il a fallu venir monter le comité, on a écarté les autres. Il faut que cela s’arrête. On a pris les cinq (5) premières centrales sorties à l’issue des dernières élections et les autres, on les a laissés. Quatorze (14) centrales ne sont pas conviées, ce qui pose un problème lorsqu’on cherche la paix sociale dans notre pays parce que la question de la représentativité, elle est relative, il faut qu’on fasse attention….», tacle Sidya Ndiaye.
Le porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye se réjouit, à l’issue de la réunion : «La stabilité sociale doit résulter de la qualité d’un dialogue social. A l’issue de la rencontre, on peut retenir que dans ce pays, nous pouvons nous féliciter, nous réjouir d’avoir des mécanismes du dialogue social qui fonctionnent très bien».
Le secrétaire général de la Fédération Générale des Travailleurs du Sénégal (FGTS) qui constate que plusieurs centrales syndicales n’ont pas été associées à la réunion. «Quand il a fallu signer le pacte, on nous a convié tous et quand il a fallu venir monter le comité, on a écarté les autres. Il faut que cela s’arrête. On a pris les cinq (5) premières centrales sorties à l’issue des dernières élections et les autres, on les a laissés. Quatorze (14) centrales ne sont pas conviées, ce qui pose un problème lorsqu’on cherche la paix sociale dans notre pays parce que la question de la représentativité, elle est relative, il faut qu’on fasse attention….», tacle Sidya Ndiaye.
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