En 2002, 14 personnes avaient trouvé la mort dans un attentat à Karachi, dont 11 ingénieurs français qui travaillaient pour la direction des constructions navales. Deux juges anti-terroristes se penchent sur une autre piste : celle d'une affaire de corruption autour de la vente de trois sous-marins français.
Source : http://www.rfi.fr/actufr/articles/114/article_8200...
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