«Il est inutile de revenir sur les contrevérités projetées, et qui tentent de faire croire à l’opinion que les Députés ne payaient pas d’impôts, et qu’il y avait, comble de l’absurde, fraude fiscale. «Des pénalités détournées» ont même été réclamées, dans le cadre de cette volonté désordonnée et irrationnelle de nuire à une Institution de la République, dont l’intéressé bénéficie pourtant, et ce, tous les mois, des avantages qu’il dénonce», a martelé le député Papa Biram Touré qui répondait aux nombreuses sorties d’Ousmane Sonko. Lesquelles sorties sont considérées comme entrant de le simple désir de nuire.
Concernant l’impôt de 1500 francs CFA que paieraient les députés et que le leader de Pastef avait dénoncé, le Vice-président du groupe parlementaire BBY dégage en touche ces affirmations pour marteler que : « les 1500 FCFA évoqués correspondent au minimum fiscal, qui n’a rien à voir avec l’impôt sur le revenu, qui est proportionnel au nombre de parts, question qui renvoie au quotient familial, c’est-à-dire, pour chaque Député, la taille de la famille, le nombre de personnes qui la compose. Sur les 165 Députés, seuls 19 ont 5 parts, le maximum de charges, au plan familial, en termes d’épouses et d’enfants, ce qui les exonère».
Quant à la dernière sortie de l’ancien inspecteur principal des impôts et domaines concernant les 10 millions de tickets d’entrée, M. Touré considère que c’est «la dernière vague de désinformations» : «Et voilà que la dernière vague de désinformations évoque 10 millions qui tombent du ciel, pour l’installation des Députés de la XIIIème Législature, et que le Collègue Sonko aurait refusé de prendre. Là également, un démenti formel et sans équivoque s’impose. Aucune dotation, pour frais d’installation des Députés, n’a été prévue ni proposée à qui que ce soit. Cette dotation n’a jamais existé».
Dans la foulée, M. Touré indique : «Il en est de même des prétendus « cinq véhicules au moins » du Président de l’Assemblée nationale qui, depuis le début de la Législature, se déplace avec des véhicules de son parc personnel, dont une Mercedes 500, une Nissan 4x4 achetées sur ses propres deniers».
M. Touré de conclure : «L’on est en droit de se demander si la haine peut servir de programme politique, même si l’on tente désespérément de la masquer, en prétendant hurler au nom du peuple, dans le contexte d’une année électorale. Et pourtant, la morale et la politique peuvent et doivent cohabiter».
Concernant l’impôt de 1500 francs CFA que paieraient les députés et que le leader de Pastef avait dénoncé, le Vice-président du groupe parlementaire BBY dégage en touche ces affirmations pour marteler que : « les 1500 FCFA évoqués correspondent au minimum fiscal, qui n’a rien à voir avec l’impôt sur le revenu, qui est proportionnel au nombre de parts, question qui renvoie au quotient familial, c’est-à-dire, pour chaque Député, la taille de la famille, le nombre de personnes qui la compose. Sur les 165 Députés, seuls 19 ont 5 parts, le maximum de charges, au plan familial, en termes d’épouses et d’enfants, ce qui les exonère».
Quant à la dernière sortie de l’ancien inspecteur principal des impôts et domaines concernant les 10 millions de tickets d’entrée, M. Touré considère que c’est «la dernière vague de désinformations» : «Et voilà que la dernière vague de désinformations évoque 10 millions qui tombent du ciel, pour l’installation des Députés de la XIIIème Législature, et que le Collègue Sonko aurait refusé de prendre. Là également, un démenti formel et sans équivoque s’impose. Aucune dotation, pour frais d’installation des Députés, n’a été prévue ni proposée à qui que ce soit. Cette dotation n’a jamais existé».
Dans la foulée, M. Touré indique : «Il en est de même des prétendus « cinq véhicules au moins » du Président de l’Assemblée nationale qui, depuis le début de la Législature, se déplace avec des véhicules de son parc personnel, dont une Mercedes 500, une Nissan 4x4 achetées sur ses propres deniers».
M. Touré de conclure : «L’on est en droit de se demander si la haine peut servir de programme politique, même si l’on tente désespérément de la masquer, en prétendant hurler au nom du peuple, dans le contexte d’une année électorale. Et pourtant, la morale et la politique peuvent et doivent cohabiter».
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