On n’a pas encore fini de conter les morts de nos compatriotes vivant à l’étranger. Après les deux sénégalais tués au Congo-Brazzaville en l'espace d'une semaine, un autre au Brésil et à Haïti, un autre compatriote au nom de Mamadou Abdoulaye Diallo a perdu la vie en France par noyade dans le canal à Saint-Denis.
Le drame est survenu dans la nuit de samedi à dimanche, au niveau du bassin de la Maltournée, à quelques mètres de l’entrée du festival de musique « Kermesse électronique ».
La victime, un étudiant en Master 2 à Paris 8, s’est noyé dans le canal de Saint-Denis, à quelques mètres de l’entrée du festival, alors qu’il tentait de récupérer un ballon tombé à l’eau.
L'homme serait «tombé à pic et ne serait jamais remonté », ont renseigné des témoins. Plusieurs personnes ont tenté de lui venir en aide, en sautant dans le canal, dont un des organisateurs. C’est finalement un festivalier, apnéiste, qui va sortir du canal le noyé, pris en charge ensuite par les pompiers. Malgré un massage cardiaque d’une quarantaine de minutes, l’homme n’a pu être réanimé.
Ce n’est pas le premier drame de ce type dans les canaux franciliens. Il y a deux mois, deux hommes avaient déjà trouvé la mort dans le canal de l’Ourcq et le canal Saint-Martin. En juin, une autre noyade avait eu lieu dans le même périmètre. Des cours d’eau dans lesquels il n’est pas rare de voir des personnes se baigner. Sans qu’ils n’aient parfois conscience des dangers. Il y a un an, Voies navigables de France avait pourtant alerté sur les risques.
Pour les organisateurs de ce festival gratuit, qui a rassemblé 500 personnes samedi, il est alors «inenvisageable de poursuivre ce festival », « l’esprit n’étant plus à la fête ». Les installations ont donc été démontées.
Le drame est survenu dans la nuit de samedi à dimanche, au niveau du bassin de la Maltournée, à quelques mètres de l’entrée du festival de musique « Kermesse électronique ».
La victime, un étudiant en Master 2 à Paris 8, s’est noyé dans le canal de Saint-Denis, à quelques mètres de l’entrée du festival, alors qu’il tentait de récupérer un ballon tombé à l’eau.
L'homme serait «tombé à pic et ne serait jamais remonté », ont renseigné des témoins. Plusieurs personnes ont tenté de lui venir en aide, en sautant dans le canal, dont un des organisateurs. C’est finalement un festivalier, apnéiste, qui va sortir du canal le noyé, pris en charge ensuite par les pompiers. Malgré un massage cardiaque d’une quarantaine de minutes, l’homme n’a pu être réanimé.
Ce n’est pas le premier drame de ce type dans les canaux franciliens. Il y a deux mois, deux hommes avaient déjà trouvé la mort dans le canal de l’Ourcq et le canal Saint-Martin. En juin, une autre noyade avait eu lieu dans le même périmètre. Des cours d’eau dans lesquels il n’est pas rare de voir des personnes se baigner. Sans qu’ils n’aient parfois conscience des dangers. Il y a un an, Voies navigables de France avait pourtant alerté sur les risques.
Pour les organisateurs de ce festival gratuit, qui a rassemblé 500 personnes samedi, il est alors «inenvisageable de poursuivre ce festival », « l’esprit n’étant plus à la fête ». Les installations ont donc été démontées.
Bonjour,
— Shinigami SaAb (@saabton) 26 juillet 2018
GENERALI ASSURANCES, m’informe qu'un Sénégalais stagiaire est décédé noyé dans le canal SAINT Martin, il y a environ 3 jours, se nomme Mamadou Abdulaye Diallo inscrit, en Master 2 à Paris 8
Aider moi à retrouverses proches
Monsieur Ameth Diacko
0033698054139
Rt a letat
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