Le corps de la dame Nd. Nd. Mb, 43 ans, avait été enterré le vendre 11 septembre au cimetière de Pikine. Cet enterrement est survenu après son décès le même jour. Jusque-là, rien d’étonnant. Mais le hic vient du fait qu’elle a été mise sous terre sans le moindre document officiel. C’est ce qui a soulevé de nombreuses questions auxquelles les enquêteurs ont tenté de répondre.
En effet, si la dame est restée quelques jours sans avoir pu être identifiée, c’est sans doute parque la famille était consciente de la grossière bourde qu’elle a commisse en enterrant une personne sans autorisation, ni certificat de décès. Ces manquements ont été découverts grâce à l’apport du fossoyeur de ce cimetière. Ce dernier a mis les policiers, selon une source de l’Observateur qui nous livre l’information, sur une piste qui a permis d’identifier certains membres de la famille de la défunte.
Auditionné par les pandores, un des membres de la famille de Nd. Nd. Mb a révélé que cette dernière avait, pendant longtemps, été clouée au lit, à Guédiawaye où elle résidait, par un Accident cardio-vasculaire (Avc). Et c’est lorsque la maladie s’est aggravée qu’elle a été amenée chez sa fille qui vivait dans une autre localité, où elle a finalement rendu l’âme le vendre 11 septembre.
Après avoir été enterrée le même jour, la défunte a été exhumée et exposée sur une autre tombe. Et c’est là qu’elle a été découverte avec les mains et les liés attachés par le tissu du linceul. Ce qui a fait penser, à première vue, que c’était un meurtre.
Mais les questions qui restent en suspens c’est quand-est-ce que le corps a été exhumé ? Pourquoi la famille s’est-elle empressée de l’inhumer ? Pourquoi le fossoyeur s’est-il permis de creuser une tombe sans la présentation d’un document officiel ?
A ces questions, s’ajoute le mystère sur la disparition du troisième linceul qui recouvrait la défunte.
En effet, si la dame est restée quelques jours sans avoir pu être identifiée, c’est sans doute parque la famille était consciente de la grossière bourde qu’elle a commisse en enterrant une personne sans autorisation, ni certificat de décès. Ces manquements ont été découverts grâce à l’apport du fossoyeur de ce cimetière. Ce dernier a mis les policiers, selon une source de l’Observateur qui nous livre l’information, sur une piste qui a permis d’identifier certains membres de la famille de la défunte.
Auditionné par les pandores, un des membres de la famille de Nd. Nd. Mb a révélé que cette dernière avait, pendant longtemps, été clouée au lit, à Guédiawaye où elle résidait, par un Accident cardio-vasculaire (Avc). Et c’est lorsque la maladie s’est aggravée qu’elle a été amenée chez sa fille qui vivait dans une autre localité, où elle a finalement rendu l’âme le vendre 11 septembre.
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