En 2011, SONATEL reprochait au patron de l’ASCOSEN (Association des Consommateurs du Sénégal) d’avoir déclaré que le chiffre d’affaires des appels téléphoniques entrants avaient augmenté de 36 milliards de F CFA. Et la décision est tombée aujourd’hui. La Cour d’appel estime qu’il n’y avait pas de diffamation, selon les propres termes de Momar Ndao.
«Quand il y a eu l’histoire de la surtaxe des appels d’entrants, j’ai été saisi par les syndicats de SONATEL qui sont venus me voir pour que je les soutienne. Et je leur avais dit que je n’étais pas d’accord avec eux et donc il y a eu un débat à travers la presse et Sonatel avait porté plainte contre moi en tant que président de l’ASCOSEN », rappelle Momar Ndao qui précise qu’ «en première instance, le juge avait estimé qu’il y avait diffamation puisqu’ (il) avait dit que Sonatel ne perdait pas».
Mais souligne le consumériste, «ce que le juge n’avait pas dit alors qu’(il) l’avait dit à l’époque, c’est que malgré la baisse du nombre de minutes, le chiffre d’affaires des appels concernant cette partie, était passé de 88 à plus de 124 milliards ». C’est ainsi que poursuit Momar Ndao sur les ondes de la Rfm : «On est venu en appel, je ressorts tous les documents du rapport annuel de SONATEL...Et aujourd’hui, le juge a estimé qu’il n’y avait pas de diffamation, donc j’avais raison sur toute la ligne».
«Quand il y a eu l’histoire de la surtaxe des appels d’entrants, j’ai été saisi par les syndicats de SONATEL qui sont venus me voir pour que je les soutienne. Et je leur avais dit que je n’étais pas d’accord avec eux et donc il y a eu un débat à travers la presse et Sonatel avait porté plainte contre moi en tant que président de l’ASCOSEN », rappelle Momar Ndao qui précise qu’ «en première instance, le juge avait estimé qu’il y avait diffamation puisqu’ (il) avait dit que Sonatel ne perdait pas».
Mais souligne le consumériste, «ce que le juge n’avait pas dit alors qu’(il) l’avait dit à l’époque, c’est que malgré la baisse du nombre de minutes, le chiffre d’affaires des appels concernant cette partie, était passé de 88 à plus de 124 milliards ». C’est ainsi que poursuit Momar Ndao sur les ondes de la Rfm : «On est venu en appel, je ressorts tous les documents du rapport annuel de SONATEL...Et aujourd’hui, le juge a estimé qu’il n’y avait pas de diffamation, donc j’avais raison sur toute la ligne».
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